 | Émile Faguet - 1905 - 788 דפים
...dispersaient en légers flocons d'écume ou formaient dans les cieux des banes d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. » Est-ce que vous ne regrettez rien de la première rédaction, ne fût-ce que les «innombrables... | |
 | University of Ottawa - 1904 - 1516 דפים
...dispersaient en légers flocons d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil qu'on croyait ressentir leur mollesse...sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la l,une descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes... | |
 | Alexandre Rodolphe Vinet - 1908 - 608 דפים
...bouffée de vent venait encore déchirer le voile, et partout se formaient dans les cieux de grands bancs d'une ouate éblouissante de blancheur, si doux à...sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour céruséen et velouté de la lune flottait silencieusement sur la cime des forêts, et, descendant... | |
 | Julien Bezard - 1911 - 772 דפים
...bouffée de vent venait encore déchirer le voile, et partout se formaient dans les cieux de grands bancs d'une ouate éblouissante de blancheur, si doux à...mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre. . . TEXTE DE i800. La lune monta peu à peu an zénith du ciel ; tantôt elle reposai 1 sur un groupe... | |
 | Émile Chartier (i.e. Joseph Étienne Émile) - 1911 - 358 דפים
...si molle qu'on se sentait à l'aise comme chez un ami" répond aux ''bancs d'une ouate éblouissante si doux à l'œil qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité." DEUXIÈME TABLEAU. (2e poste — 1er moment) Vie immense et libre. C'est la nuit encore. En un contraste... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1912 - 344 דפים
...bouffée de vent venait encore déchirer le voile, et partout se formaient dans les cieux de grands bancs d'une ouate éblouissante de blancheur, si doux à...sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour céruséen et velouté de la lune flottait silencieusement sur la cime des forêts, et, descendant... | |
 | Antoine Albalat - 1913 - 342 דפים
...dispersaient en légers flocons d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse...sur la terre, n'était pas moins ravissante; le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes... | |
 | Hugh Fraser Stewart - 1914 - 264 דפים
...dispersaient en légers flocons d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. ao La scène sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune... | |
 | Hugh Fraser Stewart - 1914 - 264 דפים
...dispersaient en légers flocons d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. 20 La scène sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune... | |
 | Ferdinand Brunetière - 1917 - 424 דפים
...dispersaient en légers flocons d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité.... (I'epart., liv. V, ch. xn.) Si ces tableaux sont toujours vrais, c'est une autre affaire; et, par exemple,... | |
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La scène sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. 
