| Léon Contanseau - 1865 - 592 דפים
...dispersaient en légers flocons d'écume, ou formaient dans les cieux, des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse...sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres et poussait des gerbes... | |
| Frederick Leypoldt - 1857 - 332 דפים
...dispersaient en légers flocons d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil qu'on croyait ressentir leur mollesse...la terre, n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes... | |
| L. Pylodet - 1867 - 328 דפים
...dispersaient en légers flocons d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil qu'on croyait ressentir leur mollesse...la terre, n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes... | |
| L. Pylodet - 1867 - 330 דפים
...flocons d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'oeil qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité....la terre, n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes... | |
| 1868 - 332 דפים
...dispersaient en légers flocons d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil qu'on croyait ressentir leur mollesse...la terre, n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes... | |
| Frederick Leypoldt, L. Pylodet - 1870 - 324 דפים
...dispersaient en légers flocons d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil qu'on croyait ressentir leur mollesse...la terre, n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes... | |
| François René vicomte de Chateaubriand - 1870 - 478 דפים
...dispersaient en légers flocons d'écume , ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante , si doux à l'œil , qu'on croyait ressentir leur mollesse...sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres , et poussait des gerbes... | |
| 1870 - 322 דפים
...d'écume, on formaient dans les cieux des bancs d'une • •ouate éblouissante, si doux à l'oeil qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité....la terre, n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes... | |
| Edward Hicks Magill - 1870 - 494 דפים
...ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait3 ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène...sur la terre n'était pas moins ravissante; le jour' bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des4 gerbes... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1865 - 854 דפים
...dispersaient en légers flocons d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse...sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes... | |
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