La solitude absolue, le spectacle de la nature, me plongèrent bientôt dans un état presque impossible à décrire. Sans parents, sans amis, pour ainsi dire, sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois... Le crime et le suicide passionnels - עמוד 330מאת Louis Proal - 1900 - 683 דפיםתצוגה מלאה - מידע על ספר זה
| Charles-Augustin Sainte-Beuve - 1861 - 426 דפים
...presque impossible à décrire. Sans parents, sans amis, pour ainsi dire seul sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance...songes et de mes veilles. Il me manquait quelque chose jour remplir l'abîme dé mon existence : de l'Église : « Que si on veut pénétrer les principes... | |
| Paul Janet - 1865 - 480 דפים
...sortes de fantômes, qui déterminent dans son âme un véritable délire : « Quelquefois, dit-il, je rougissais subitement, et je sentais couler dans...veilles. Il me manquait quelque chose pour remplir l'abime de mon existence ; je descendais dans la vallée ; je m'élevais sur la montagne, appelant... | |
| Abbé Augustin Sénac - 1865 - 442 דפים
...le spectacle de la nature me plongèrent bientôt dans un état presque impossible à décrire. ... Quelquefois je rougissais subitement. et je sentais...la nuit était également troublée de mes songes ii — 8 et de mes veilles. II me manquait quelque chose pour remplir l'abîme de mon existence. Mais... | |
| Alphonse de Lamartine - 1869 - 424 דפים
...presque impossible à décrire. Sans parents, sans amis, pour ainsi dire, sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance...nuit était également troublée de mes songes et de nies veilles. M me manquait quelque chose pour remplir l'abîme de mon existence : je descendais dans... | |
| Julian Schmidt - 1873 - 548 דפים
...nur nodj celebren« ter. „Sans parens, sans amis, pour ainsi dire seul sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance...rougissais subitement, et je sentais couler dans mon coeur comme des ruisseaux d'une lave ardente; quelquefois je poussais des cris involontaires, et la... | |
| 1875 - 820 דפים
...violentes ; elle entre dans le langage véhément et exalté. Ainsi on lit dans Chateaubriand : « Quelquefois je rougissais subitement, et je sentais...mon cœur comme des ruisseaux d'une lave ardente. » Et dans ]",<•ranger: Prés de la borne où chaque ¿tat commence Aucun i;|n n'est pur de lang... | |
| Daniel Bonnefon - 1880 - 512 דפים
...presque impossible à décrire. Sans parents, sans amis, pour ainsi dire seul sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance...veilles. Il me manquait quelque chose pour remplir l'abime de mon existence ; je descendais dans la vallée, je m'élevais sur la montagne, appelant de... | |
| Daniel Bonnefon - 1880 - 522 דפים
...presque impossible à décrire. Sans parents, sans amis, pour ainsi dire seul sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance...également troublée de mes songes et de mes veilles. 11 me manquait quoique chose pour remplir l'abime de mon existence ; je descendais dans la vallée,... | |
| 1896 - 630 דפים
...pouvait manger de baisers : supplice de Tantale, à devenir fou. « N'ayant point aimé, raconte-t-il, j'étais accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois...également troublée de mes songes et de mes veilles. » 11 appela la mort. « Levezvous, orages désirés, qui devez emporter René dans les espaces d'une... | |
| 1896 - 1088 דפים
...pouvait manger de baisers : supplice de Tantale, à devenir fou. « N'ayant point aimé, raconte-t-il, j'étais accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois...sentais couler dans mon cœur, comme des ruisseaux d'une lavearJentc; quelquefois je poussais des cris involontaires et la nuit était également troublée... | |
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