| C. J. Cunninghame - 1808 - 292 דפים
...peine au fils d'Egée Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée , Mon repos, mon bonheur semblait être affermi ;) Athènes me montra mon superbe ennemi...' Je le vis , je rougis, je pâlis à sa vue ; Un troubla s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler; Je sentis... | |
| Jean Racine - 1810 - 418 דפים
...Falloit-il approcher de tes bords dangereux ! PHÈDRE. Mon mal vient de plus loin. A peine au fils d'âgée Sous les lois de l'hymen je m'étois engagée , Mon...ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; TTn trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler; Je... | |
| Louis Dubroca - 1810 - 296 דפים
...au fils d'Egée , Sous les loi» de l'hymen je m'étais engagée , Mon repos , mon bonljeur semblait être affermi. Athènes me montra mon superbe ennemi....je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. Je sentis tout mon corps et transir... | |
| Théodore Vernier comte de Montorient - 1810 - 392 דפים
...très-heureusement imité en parlant de l'amour, les effets produits par la surprise et les passions violentes. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue, Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue; Mes yeux ne voyoient plus , je ne pouvois parler. La peur est dans l'homme , cette disposition habituelle de l'ame... | |
| Jean Racine - 1811 - 470 דפים
...loin. A peine au fils d'Egée Sous les lois de l'hymen je m'étois engagée , Mon repos , mon honneur sembloit être affermi. Athènes me montra mon superbe...trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus , je ne pouvois parler ; Je sentis tout mon corps et transir , et brûler. Je reconnus... | |
| Jean-François de La Harpe - 1813 - 392 דפים
...les lois de l'hymen je m'étais engagée , Mon repos, mon bonheur, semblait être affermi: Athenes me montra mon superbe ennemi. Je le vis , je rougis...trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. .- '... Voilà... | |
| Lucius Annaeus Seneca - 1813 - 316 דפים
...me unirão, Julguei minha ventura permanente. P. IL E MosJlthenes me montra mon superbe ennemi. ye le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler, J e sentis tout mon corps et transir, et brûler. J'e reconnus... | |
| Jean Racine - 1813 - 300 דפים
...les lois de l'bymen je m'étais engagée , Mon repns , mon bonbeur semblait être affermi; Atbènes me montra mon superbe ennemi ; Je le vis , je rougis , je pâlis a sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler... | |
| Jean François de La Harpe - 1817 - 656 דפים
...engagée , Mon repos, mon bonheur, semblait être affermi; Alheñes me montra mon superbe ennemi. le le vis ; je rougis , je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; le sentis tout mon corps et transir... | |
| Virgil - 1819 - 310 דפים
...violent, comme on le voit dans ces paroles de Phèdre, qui sont la paraphrase du vers de Virgile : Je le vis , je rougis, je pâlis à sa vue : Un trouble s'eleva dans mon âme éperdue ; Mes jeux ne voyaient plus,- je ne pouvais parler, le sentis tout mon... | |
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