...absolue, le spectacle de la nature me plongèrent bientôt dans un état presque impossible à décrire Quelquefois je rougissais subitement, et je sentais...quelque chose pour remplir l'abîme de mon existence. Mais comment exprimer cette foule de sensations fugitives que j'éprouvais dans mes promenades? Les...

..., j'étois accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois je rougissois subitement, et je senlois couler dans mon cœur comme des ruisseaux d'une lave ardente ; quelquefois je poussois des cris involontaires, et la nuit étoit également troublée de mes songes et de mes veilles....

...presque impossible à décrire. Sans parents, v sans amis, pour ainsi dire, sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance...la nuit était également troublée de mes songes cl de mes veilles. Il me manquait quelque chose pour remplir l'abîme de mon existence : je descendais...

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...ainsi dire seul sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance dévie. Quelquefois je rougissais subitement , et je sentais...poussais des cris involontaires , et la nuit était éga- / lement troublée de mes songes et de mes veilles. Il A • me manquait quelque chose pour remplir...

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...impossible à décrire. Sans parents, sans amis, pour ainsi dire seul sur la terre , ja' ayant point encore aimé , j'étais accablé d'une surabondance...poussais des cris involontaires , et la nuit était éga- . : lement troublée de mes songes et de mes veilles. Il x êmanquairqyelque chose pour remplir...

...aimé, j'étois accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois je rougissois subitement, et je sentois couler dans mon cœur comme des ruisseaux d'une lave ardente; quelquefois je poussois des cris involontaires, et la nuit étoit également troublée de mes songes et de mes veilles....

...presque impossible à décrire. Sans parents, sans amis, pour ainsi dire seul sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance...quelque chose pour remplir l'abîme de mon existence : de l'Église : « Que si on veut pénétrer le» principes de leur inorale, quelle sévère condamnation...