...qui veille sous ses armes, Tu vis de la beauté le sourire ou les larmes, Sans sourire ni soupirer 1 Tu n'aimais que le bruit du fer, le cri d'alarmes,...flattait que ton léger coursier, Quand les flots ondoyants de sa pâle crinière Sillonnaient comme un vent la sanglante poussière, Et que ses pieds...

...jusque dans le cœur de ces troupeaux d'esclaves Qu'il fouloit tremblants sous son char. Tu n'aimois que le bruit du fer, le cri d'alarmes, L'éclat resplendissant de l'aube sur les armes; Et ta main ne flattoit que ton léger coursier, Quand les flots ondoyants de sa pâle crinière Sillonnoient comme...

...de l'aube snr les armes ; Et ta main ne nattait que ton léger coursier. Quand les flots ondoyants de sa pâle crinière Sillonnaient, comme un vent,...poussière, Et que ses pieds brisaient l'acier. Tu tombas cependant de ce sublime faite; Sur ce rocher désert jeté par la tempête, (1) Aujourd'hui...

...jusqu'ici poursuivre une mémoire, Rien... excepté la vérité! tu n'aimais que le bruit du fer, le eri d'alarmes, L'éclat resplendissant de l'aube sur les armes ; Et ta main ne flattait que ton logor coursier, Quand les flots ondoyants de sa pâle crinière Sillonnaient, comme un vent, la sanglante...

...le moucheron bourdonne, Et son ombre n'entend que le bruit monotone D'une vague contre un écueil. Tu n'aimais que le bruit du fer, le cri d'alarmes,...flattait que ton léger coursier, Quand les flots ondoyants de sa pâle crinière Sillonnaient, comme un vent, la sanglante poussière, Et que ses pieds...

...s'enivrer. Comme un soldat debout qui veille sous ses armes, Tu vis de la beauté le sourire et les larmes, Sans sourire et sans soupirer. Tu n'aimais...flattait que ton léger coursier, Quand les flots ondoyants de sa pâle crinière Sillonnaient comme un vent la sanglante poussière, Et que ses pieds...

...sourire et sans soupirer. Quand les Ilots ondoyants de sa pâle crinière Sillonnaient comme un veut la sanglante poussière, Et que ses pieds brisaient...plaisir, tu tombas sans murmure. Rien d'humain ne battait sous tou épaisse armure : Sans baine et sans amour, tu vivais pour penser. Comme l'aigle régnant...

...l'impératrice Joséphine, l'aimable compagne de ses beaux jours. Cet homme, de qui Lamartine a dit : '«*•' Tu grandis sans plaisir, tu tombas sans murmure. Rien d'humain ne battait sous ton épaisse armure; Sans haine et sans amour tu vivais pour penser; Comme l'aigle régnant dans...

...s'enivrer. Comme un soldat debout qui veille sous ses armes, Tu vis de la beauté le sourire et les larmes, Sans sourire et sans soupirer. Tu n'aimais...flattait que ton léger coursier, Quand les flots ondoyants de sa pâle crinière Sillonnaient comme un vent la sanglante poussière, Et que ses pieds...

...s'enivrer. Comme un soldat debout qui veille sous ses armes, Tu vis de la beauté le sourire et les larmes, Sans sourire et sans soupirer. Tu n'aimais...flattait que ton léger coursier, Quand les flots ondoyants de sa pâle crinière Sillonnaient comme un vent la sanglante poussière, Et que ses pieds...