L'éclat resplendissant de l'aube sur les armes ; Et ta main ne flattait que ton léger coursier, Quand les flots ondoyans de sa pâle crinière Sillonnaient, comme un vent, la sanglante poussière, Et que ses pieds brisaient l'acier. Premièros méditations et Nouvelles méditations - עמוד 206מאת Alphonse de Lamartine - 1834 - 324 דפיםתצוגה מלאה - מידע על ספר זה
| Alphonse de Lamartine - 1836 - 754 דפים
...s'enivrer. Comme un soldat debout qui veille sons ses armes Tu vis de la beauté le sourire ou les larmes , Sans sourire et sans soupirer. Tu n'aimais..., tu tombas sans murmure. Rien d'humain ne battait sous ton épaisse armure : Sans haine et sans amour, tu vivais pour penser. Comme l'aigle régnant... | |
| C Victor Martin - 1837 - 332 דפים
...s'enivrer ! Comme un soldat debout qui veille sous les armes, Tu vis de la beauté le sourire ou les larmes, Sans sourire et sans soupirer ! Tu n'aimais...flattait que ton léger coursier, Quand les flots ondoyants de sa pâle crinière, Sillonnaient comme un vent, la sanglante poussière, Et que ses pieds... | |
| Patrice-François-Marie Cruice - 1840 - 406 דפים
...s'enivrer : Comme un soldat debout qui veille sous ses armes, Tu vis de la beauté le sourire ou les larmes Sans sourire et sans soupirer. Tu n'aimais...flattait que ton léger coursier, Quand les flots ondoyants de sa pâle crinière Sillonnaient, comme un vent, la sanglante poussière, Et que ses pieds... | |
| 1841 - 586 דפים
...OF SPANISH GENERALS, CARLIST AND CRISTINO. No. XV. — ESPOZ Y MINA. Parti. • " Tu n'amais que \e bruit du fer, le cri d'alarmes ! L'éclat resplendissant de l'aube sur les armes ; — Jamais. La coupe des festins ne te versa l'ivresse ; Tes yeux d'une autre pompe aimaient à s'enivrer... | |
| Charles Picot - 1845 - 260 דפים
...veille sous les armes, Tu vis de la beauté le sourire ou les larmes, Sans sourire et sans soupirer. Tu grandis sans plaisir, tu tombas sans murmure, Rien d'humain ne battait sous ton épaisse armure. Sans haine et sans amour, tu vivais pour penser. Comme l'aigle régnant dans... | |
| Alphonse de Lamartine - 1847 - 422 דפים
...s'enivrer. Comme un soldat debout qui veille sous ses armes , Tu vis de la beauté le sourire ou les larmes , Sans sourire et sans soupirer. Tu n'aimais...plaisir, tu tombas sans murmure. Rien d'humain ne battait sous ton épaisse armure : Sans haine et sans amour, tu vivais pour penser. Comme l'aigle régnant... | |
| Alphonse de Lamartine - 1848 - 354 דפים
...s'enivrer. Comme un soldat debout qui veille sous ses armes, Tu vis de la beauté le sourire ou les larmes, Sans sourire et sans soupirer. Tu n'aimais...flattait que ton léger coursier, Quand les flots ondoyants de sa pâle crinière Sillonnaient, comme un vent, la sanglante poussière, Et que ses pieds... | |
| George Gerard (professor of French.) - 1848 - 408 דפים
...veille sous les armes, Tu vis de la beauté le sourire ou les larmes, Sans sourire et sans soupirer. Tu grandis sans plaisir, tu tombas sans murmure, Rien d'humain ne battait sous ton épaisse armure. Sans haine et sans amour, tu vivais pour penser. Comme l'aigle régnant dans... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - 1848 - 552 דפים
...veille sous les armes , Tu vis de la beauté le sourire ou les larmes , Sans sourire et sans soupirer. Tu grandis sans plaisir, tu tombas sans murmure , Rien d'humain ne battait sous ton épaisse armure. Sans haine et sans amour, tu vivais pour penser. Comme l'aigle régnant dans... | |
| Alphonse de Lamartine - 1849 - 372 דפים
...s'enivrer. Comme un soldat debout qui veille sous ses armes, Tu vis de la beauté le sourire ou les larmes, Sans sourire et sans soupirer. Tu n'aimais...flattait que ton léger coursier, Quand les flots ondoyants de sa pâle crinière Sillonnaient, comme un vent, la sanglante poussière, Et que ses pieds... | |
| |