 | Jean Racine - 1822 - 562 דפים
...ombres, les flambeaux, les cris et le silence, Et le farouche aspect de ses fiers ravisseurs, Itelevoient de ses yeux les timides douceurs. Quoi qu'il en soit, ravi d'une s; belle vue, J ai voulu lui parler, et ma voix s'est perdue : Immobile, saisi d'un long étonnement,... | |
 | 1823 - 360 דפים
...aspect de ses fiers ravisseurs , Relevoient de ses yeux les timides douceurs : Quoi qu'il en soit, -avi d'une si belle vue, J'ai voulu lui parler, et ma voix...Je l'ai laissé passer dans son appartement. J'ai passe dans le mien. C'est là que, solitaire, De sou image en vain j'ai voulu me distraire. Trop présente... | |
 | Jean Racine - 1668 - 402 דפים
...soit , ravi d'nne si belle vne , J'ai vonln lni parler, et ma voix s'est perdne: Immobile, saisi d'nn long étonnement, Je l'ai laissé passer dans son appartement. J'ai passé dans le mien. C'est là qne, solitaire, De son image en vain j'ai vonln me distraire. Trop présente à mes yenx je croyois... | |
 | Casimir Delavigne - 1826 - 258 דפים
...vient «ncore à mon secours. Racine a fait dire à Néron , en parlant de Junie : ' \ • :• » Immobile, saisi d'un long étonnement, Je l'ai laissé passer dans son appartement. • . De plus , j'ai en ma faveur l'autorité de Condillac. Il établit pour règle que tout participe... | |
 | Jean Racine - 1829 - 516 דפים
...ombres, les flambeaux, les cris etle silence, Et le farouche' aspect de ses fiers ravisseurs, Relevoient de ses yeux les timides douceurs: Quoi qu'il en soit,...étonnement, Je l'ai laissé passer dans son appartement. -T'ai passé dans le mien. C'est là que, solitaire, De son image en vain j'ai voulu me distraire.... | |
 | Jean Racine - 1829 - 724 דפים
...ombres, les flambeaux , les cris et le silence, El le farouche aspect de ses fiers ravisseurs, Relevoienl de ses yeux les timides douceurs. Quoi qu'il en soit, ravi d'une si belle vue, J'ai voulu lui parler, el ma voix s'esl perdue: Immobile, saisi d'un long étonnemeul , Je l'ai laissé passer dans son appartement.... | |
 | Jean Racine - 1829 - 618 דפים
...flambeaux, les cris, et le silence, Et le farouche aspect de ses fiers ravisseurs, Kelevoient de ses veux les timides douceurs : Quoi qu'il en soit , ravi d'une si belle vue , .l'ai voulu lui parler , et ma voix s'est perdue: Immobile, saisld'un long étonnement, .le l'ai... | |
 | Casimir Delavigne - 1836 - 640 דפים
...correct de nos poêtes vient encore à mon secours. Racine a fait dire à Néron, en parlant à Junie: Immobile, saisi d'un long étonnement , Je l'ai laissé passer dans son appartement. De plus, j'ai en ma faveur l'autorité de Conclu). u H établit pour règle que tout participe suivi... | |
 | Jean Racine - 1842 - 406 דפים
...les flambeaux , les cris et le silence , Et le farouche aspect de ses fiers ravisseurs, Relevaient de ses yeux les timides douceurs. Quoi qu'il en soit,...perdue : Immobile, saisi d'un long étonnement Je l'ai laissée passer dans son appartement. J'ai passé dans le mien. C'est là que, solitaire, De son image... | |
 | Jean Racine - 1844 - 682 דפים
...les flambeaux , les cris , et le silence , Et le farouche aspect de ses fiers ravisseurs , Relevaient de ses yeux les timides douceurs : Quoi qu'il en soit...et ma voix s'est perdue : Immobile, saisi d'un long étonuement, Je l'ai laissé passer dans son appartement. J'ai passé dans le mien. C'est là que,... | |
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J'ai voulu lui parler et ma voix s'est perdue : Immobile, saisi d'un long étonnement Je l'ai laissé passer dans son appartement. J'ai passé dans le mien. 
