Seizième siècle: études littérairesBoivin, 1898 - 425 עמודים |
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עמוד 322 - Heureux qui, comme Ulysse*, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy là qui conquit la toison*, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge...
עמוד 276 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir. Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes; Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.
עמוד 348 - S'en vont ; et je leur dis : Vous sentez, irondelles, S'esloigner la chaleur et le froid arriver. Allez nicher ailleurs, pour ne tascher, impures, Ma couche de babil et ma table d'ordures ; Laissez dormir en paix la nuict de mon hyver.
עמוד 322 - Echo, ne répond à ma voix. Entre les loups cruels j'erre parmi la plaine, Je sens venir l'hiver, de qui la froide haleine D'une tremblante horreur fait hérisser ma peau.
עמוד 261 - Parque t'a tuée, et cendre tu reposes. Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs, Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs, Afin que vif et mort ton corps ne soit que roses.
עמוד 322 - France, mère des Arts, des Armes et des Lois, Tu m'as nourri longtemps du lait de ta mamelle: Ores, comme un agneau qui sa nourrice appelle, Je remplis de ton nom les antres et les bois.
עמוד 304 - Pape est fait, donner de faulx alarmes, Saccager un palais : mais plus que tout cela Fait bon voir, qui de l'un, qui de l'autre se vante, Qui met pour cestui-cy, qui met pour cestui-là, Et pour moins d'un escu dix Cardinaux en vente.
עמוד 223 - Oultre je t'advertis de ne faire conscience de remettre en usage les antiques vocables, et principalement ceux du langage Wallon et Picard, lequel nous reste par tant de siècles l'exemple naïf de la langue Françoise...
עמוד 222 - Je vous recommande par testament que vous ne laissiez point perdre ces vieux termes, que vous les employiez et défendiez hardiment contre des maraux qui ne tiennent pas élégant ce qui n'est point escorché du latin et de l'italien...
עמוד 73 - Ronsard et les auteurs ses contemporains ont plus nui au style qu'ils ne lui ont servi. Ils l'ont retardé dans le chemin de la perfection ; ils l'ont exposé à la manquer pour toujours , et à n'y plus revenir. Il est étonnant que les ouvrages de Marot, si naturels et si faciles, n'aient su faire de Ronsard, d'ailleurs plein de verve et d'enthousiasme , un plus grand poète que Ronsard et que Marot...