Le nouveau théâtre franc̜ois, כרך 6Êtienne Neaulme, 1735 |
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Abner ABSALON Achitophel Adieu affez aime ainfi Allez Allons amour Arifte ARIST ARLEQUIN auffi avez avoit bian Blaife BLAISE BLECTRUE c'eft c'eſt CARABIN CHEVALIER CHOE U chofe Ciel CLARICE cœur Comteffe COMTESSE COURTISAN CRISPIN DAMON DAVID deffein déja DIAPHANE Dieu difcours DORANTE eft vrai êtes étoit fang fans fauver fçai fçais fçavoir fecours fecret femble fens fentiment feroit fervir feul foibleffe foin foit foldats fommes font FONTIGNA FONTIGNAC FRONTAIN fuis fujet funefte fureur grace homme j'ai j'en JASMIN Joab Jonathas jufte JULIE l'amour l'efprit laiffe Lifette LISETTE LUCILE m'en Madame Marquife MARQUIS MARTON MEDECIN Monfieur morgué n'eft noute ORGON paffe Pargué parler PARMEN paroître penfe perfide perfonne plaifir plûtôt prefent puiffe raifon refpect refte rien s'eft Saül SCE SCENE Seigneur SPINET TEMIRE tems tendreffe TESS THARE toûjours trépas UTRECHT VALERE velà veux voilà voute yeux Zamri
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עמוד 29 - Ils viennent achever leur sacrilège ouvrage. Mais, loin d'être saisis d'une indigne terreur, Apprêtons-nous, mon fils, à punir leur fureur: Nous combattrons au nom du maître de la terre, Du Dieu qui devant lui fait marcher le tonnerre, Pour qui tous les mortels qu'embrasse l'univers Sont comme la poussière éparse dans les airs. Je ne vous dirai point, et mon cœur ne peut croire Ce que l'on a semé pour ternir votre gloire. Amasa veut ravir le sceptre de son roi : Mais que mon propre fils...
עמוד 15 - Julie , paroître en savoir plus que vous ne voulez m'en dire ; mais enfin , les soins que j'ai pris de votre enfance et l'amitié que je vous ai toujours témoignée , me font prétendre à ne rien ignorer de ce qui vous touche. Quelques amis m'ont parlé en particulier. Ce n'est pas tout. Depuis un temps, je vous trouve rêveuse, inquiète, embarrassée. Il faut que vous en conveniez, Julie, quelqu'un a su vous toucher.
עמוד 35 - Julie ! si ma raison ne m'eût pas soutenu contre l'effet de vos charmes, pensez-vous que je n'eusse pas été le premier à me déclarer pour vous? Avez-vous cru que je vous visse impunément? Non, non!... Mais plus votre mérite m'a paru accompli , et plus j'ai trouvé de motifs d'étouffer dans mon cœur la passion que vous y faisiez naître... Ciel ! quelle est ma foiblesse! Osé-je croire qu'elle pense à moi ?... Allons, rendons-nous justice une...
עמוד 54 - J'ai fait plus : satisfait qu'un exil nécessaire Eût expié trois ans le meurtre de ton frère , Mes ordres à ma cour ont fait hâter tes pas; Ton père désarmé t'a reçu dans ses bras.
עמוד 15 - J'en conviendrai, monsieur. Oui , quelqu'un a su me plaire ; mais ne tenez point compte de ce qu'on a pu vous dire, et ne me demandez point qui est celui pour qui je sens du penchant , car je ne puis me résoudre à vous le déclarer.
עמוד 46 - ... fort au-dessus de tout ce que l'histoire et la fable nous vantent, qu'il n'étoit pas naturel qu'un homme de soixante et dix ans... LE MARQUIS, l'interrompant.
עמוד 1 - Je suis si vieux, j'ai si long-temps Près du beau sexe fait tapage, Que je me croyois hors des rangs; Mais, plus entreprenant qu'un page, Dans le moment il m'a suffi D'entendre parler mariage : Mon cœur acceptoit le défi.
עמוד 39 - Tenez, je m'amusais dans mon pays à des ouvrages d'esprit, dont le but était, tantôt de faire rire, tantôt de faire pleurer les autres. BLECTRUE. Des ouvrages qui font pleurer ! cela est bien bizarre. LE POÈTE. On appelle cela des tragédies, que l'on récite en dialogues, où il ya des héros si tendres, qui ont tour à tour des transports de...
עמוד 55 - Ne mît le sceptre aux mains d'Adonias ton frère. A quoi ton lâche orgueil n'at-il pas eu recours ! Tu veux me détrôner , tu veux trancher mes jours.
עמוד 2 - Accouroit pour me rendre hommage. Que se passoit-il entre nous? Rien qu'un innocent badinage; Mais, ô grands dieux! qu'il étoit doux! L'amour est de tout âge. LE MARQUIS.