Dictionnaire historique et critique de Pierre Bayle, כרך 15Desoer, libraire, rue Christine., 1820 |
מהדורות אחרות - הצג הכל
מונחים וביטויים נפוצים
apud Aristote article assez auteur Bayle Bèze cause censure chap choses Cicéron cite Codrus corps corrigé critique cùm dénonciateur dernière édition Dictionnaire Dieu Diogène Laërce dispute dogme donne écrit ejus enim etiam eût gens hæc hippomanes homme Hubert Languet ibid Idem imprimé infinité j'ai jour Journal des Savans juger Junius Brutus Jurieu l'an l'article l'auteur l'éditeur l'édition de 1725 latin lecteurs lettre libelles lieu livre Lycurgue ment monde Moréri mourut nihil nommé Nouv objections obscénités OBSERV ouvrage parle paroles passer PAULICIENS Pausanias père personne philosophe Pline Plutarque poëte premier principe PRISCILLIEN publia pyrrhonisme qu'un quæ quàm quòd raison rait rapporte réfuter religion remarque rien s'il saint Saumaise savans serait servir Sextus Empiricus sorte sunt teur Théodore de Bèze tion trouve Voyez ci-dessus Zabarella Zanchius Zénon Zénon d'Élée Zeuxis Zoroastre δὲ καὶ
קטעים בולטים
עמוד 310 - JésusChrist : car la parole de la croix est une folie pour ceux qui se perdent; mais pour ceux qui se sauvent, c'est-à-dire pour nous, elle est une vertu et la puissance de Dieu; c'est pourquoi il est écrit: «Je détruirai la sagesse des sages, et j'abolirai la science des savants.
עמוד 310 - Et pour nous , nous prêchons JésusCHRIST crucifié , qui est un scandale aux juifs , et une folie aux gentils : mais qui est la force de Dieu et la sagesse de Dieu à ceux qui sont appelés, soit juifs...
עמוד 281 - S'il était possible, dit-il , que tous les hommes » négligeant les affaires de la vie s'attachassent à l'étude et à la » méditation, il ne faudrait point chercher d'autre voie pour leur » faire recevoir la religion chrétienne. Car pour ne rien dire qui » offense personne » (il insinue que la religion païenne est absurde , mais il ne le veut point dire expressément),
עמוד 310 - Juifs, ou gentils, parce que ce qui paraît en Dieu une folie, est plus sage que la sagesse de tous les hommes, et que ce qui paraît en Dieu une faiblesse, est plus fort que la force de tous les hommes.
עמוד 281 - ... vera pas moins d'exactitude qu'ailleurs; soit dans la discussion » de ses dogmes , soit dans l'éclaircissement des expressions énig» matiques de ses prophètes, soit dans l'explication des paraboles » de ses évangiles, et d'une infinité d'autres choses arrivées ou » ordonnées symboliquement. Mais, puisque ni les nécessités de la » vie ni les infirmités des hommes ne permettent qu'à un fort petit » nombre de personnes de s'appliquer à l'étude, quel moyen pou...
עמוד 281 - Et je voudrais bien que l'on me dît, sur le sujet du grand nombre de ceux qui croient et qui par là se sont retirés du bourbier des vices, où ils étaient auparavant enfoncés, lequel...
עמוד 63 - Mais, sans m'arrêter à le convaincre de cette erreur, sachez que c'est dans ce monde invisible et d'une étendue infinie qu'on peut découvrir les raisons et les principes des choses, les vérités les plus cachées, les convenances, les justesses, les proportions, les vrais originaux et les parfaites idées de tout ce qu'on cherche.
עמוד 36 - Je dis donc que ce qui convient au lundi et au mardi à l'égard de la succession, convient à chaque partie du temps quelle qu'elle soit. Puis donc qu'il est impossible que le lundi et le mardi existent ensemble, et qu'il faut nécessairement que le lundi cesse d'être avant que le mardi commence d'être, il n'ya aucune partie du temps, quelle qu'elle soit, qui puisse coexister à une autre; chacune doit exister seule; chacune doit commencer d'être, lorsque la précédente cesse d'être; chacune...
עמוד 415 - Un homme d'esprit épigrammatique a dit de ces deux poèmes , que "l'on trouve bien Milton dans le Paradis perdu, mais non pas dans le Paradis recouvré. * Le père de Mareuil , je'suite , a donné une traduction française in-1 2 de ce dernier poème.
עמוד 310 - ... nécessaires à toutes les autres révolutions. Il a voulu que ses disciples et les sages de ce monde fussent si diamétralement opposés, qu'ils se traitassent réciproquement de fous ; il a voulu que comme son Evangile paraissait une folie aux philosophes, la science de ceux-ci parût à son tour une folie aux chrétiens. Lisez bien ces paroles de saint Paul...