Portraits contemporains, כרך 2 |
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עמוד 329 - Tout le monde connaît cette longue levée qui borne et qui resserre le lit de la Seine, du côté où elle entre à Paris avec la Marne qu'elle vient de recevoir : les hommes s'y baignent au pied pendant les chaleurs de la canicule ; on les voit de fort près se jeter dans l'eau, on les en voit sortir : c'est un amusement. Quand cette saison n'est pas venue, les femmes de la ville ne s'y promènent pas encore ; et quand elle est passée, elles ne s'y promènent plus.
עמוד 212 - Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages : Tout Bourgeois veut bâtir comme les grands Seigneurs, Tout petit Prince a des Ambassadeurs, Tout Marquis veut avoir des Pages.
עמוד 152 - Le premier académicien qu'on reçut après lui et qu'on reçut en public (janvier 1673) fut Fléchier, digne d'une telle inauguration. Perrault, qui mettait les modernes si fort au-dessus des anciens, comptait parmi les plus beaux avantages de son siècle cette cérémonie académique, dont il était le premier auteur. « On peut assurer, dit-il, que l'Académie changea de face à ce moment; de peu connue qu'elle étoit, elle devint si célèbre, qu'elle faisoit le sujet des conversations ordinaires....
עמוד 264 - Vive memor lethi ; fugit hora ; hoc, quod loquor, inde est. EN quid agis ? duplici in diversum scinderis hamo : Hunccine, an hune sequeris?
עמוד 460 - ... en destine une. Examinant sérieusement la chose, nous nous sommes dit qu'il n'y avait plus de Bastille à prendre, plus de trois ordres à confondre, plus de nuit du 4 août à faire, plus rien qu'une charte à exécuter avec franchise, et des ministres à renverser en vertu de cette charte.
עמוד 544 - Imaginez-vous au lieu de cela un italien qui écrit, s'il n'est pas toscan, dans une langue qu'il n'a presque jamais parlée, et qui (si...
עמוד 153 - Je t'assure que le meilleur de tes amis n'a plus à compter sur quinze jours de vie. Voilà deux mois que je ne sors point, si ce n'est pour aller un peu à l'Académie, afin que cela m'amuse. Hier, comme j'en revenais, il me prit au milieu de la rue du Chantre une si grande faiblesse que je crus véritablement mourir.
עמוד 545 - Dans la rigueur farouche et pédantesque de nos puristi il ya, à mon avis, un sentiment général fort raisonnable, c'est le besoin d'une certaine fixité, d'une langue convenue entre ceux qui écrivent et ceux qui lisent...
עמוד 451 - ... les coupables ; aucun œil ne voyait celui qui allait expirer à la fleur de l'âge, atteint d'un mal inconnu, celui qui mourrait sous le poignard musulman ou sous le feu ennemi , celui qui opprimerait la liberté, celui qui trahirait sa patrie; tous paraissaient grands, purs, heureux, pleins d'avenir! Ce ne fut là qu'un moment; mais il n'ya que des moments dans la vie des peuples, comme dans celle des individus.
עמוד 451 - ... pleins d'avenir! Ce ne fut là qu'un moment; mais il n'ya que des moments dans la vie des peuples, comme dans celle des individus. Nous allions retrouver l'opulence avec le repos : quant à la liberté et à la gloire, nous les avions!... Il faut, a dit un Ancien, que la patrie soit non-seulement heureuse, mais suffisamment glorieuse.