| Académie royale des belles-lettres de La Rochelle - 1763 - 346 דפים
...pâlis à fa vue. J/n trouble s'éleva çkns mon ame éperdu^ Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvoïs parler , Je fentis tout mon corps , & tranfir & brûler. Je reconnus Venus , & fes feux redoutables , D'un fang qu'elle pourfuit tourmens inévitables. &c.' Si les nuances... | |
| Voltaire - 1765 - 442 דפים
...images : alors l'auteur dit précifément les mêmes chofes que dirait la perfonne qu'il introduit. ' Je le vis• je rougis, je pâlis à fa vue; -. ,- . ,' Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue k : : . Mes yeux ne voyaient plus,- je ne pouvais parler. * ' •" X ' I -i•tt*^-»»•... | |
| Jean Racine - 1767 - 470 דפים
...engagée , Mon repos , mon bonheur fèmbloit etre affèrmi» Athènes me montra mon fùperbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vue. Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyoient plus , je ne pouvois parler; Je fèntis tout mon corps & tranfîr... | |
| Jean Racine - 1768 - 468 דפים
...Dans mon âme éperdue. » Mes yeux ne voyoient plus ». Mes yeux ne voyoient plus , je ne pouvois parler ; Je fentis tout mon corps & tranfir & brûler. Je reconnus Vénus & fes feux redoutables , D'un fang qu'elle pourfuit tourments inévitables. Par des vœux aflîdus je crus... | |
| abbé Sabatier de Castres (Antoine) - 1770 - 750 דפים
...images ; alors l'Auteur dit précifément les mêmes chofes que di,n ut la perfonne qu'il introduit : Je le vis ; je rougis ; je pâlis à fa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus; je ne pouvois parler.' L'Imagination, alors ardente & fage , n'entafle point de figures... | |
| 1772 - 398 דפים
...images : alors l'auteur dit précifémsnt Ici mêmes chofes que diroit la peribnne qu'il introduit : Je le vis-, je rougis , je pâlis à fa vue; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue; Mes yeux ne voyoient plus ; jenepouvoisparler.. L'imagination alors ardente & fage, n'entaflTei... | |
| Voltaire - 1775 - 444 דפים
...images : alors l'auteur dit précifément les mêmes chofes que dirait la perfonne qu'il introduit. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vue ; Un trouble...Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. L'imagination alors ardente & fage , n'entafle point de figures incohérentes; elle ne dit point, par... | |
| Voltaire - 1775 - 442 דפים
...c'était une autre qui parlât de la paflion de Phèdre. Athènes me montra mon fuperbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vue. Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je fentis tout mon corps & tranfir... | |
| Jean Racine - 1779 - 478 דפים
...engagée, Mon repos , mon bonheur fembloit être affermi. Athènes me montra mon fuperbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyoient plus , je ne pouvois parler, Je fentis tout mon corps & tranfir &. brûler. . Je reconnus... | |
| Charles Joseph Panckoucke - 1782 - 810 דפים
...la paillon de Phèdre. Athènes me montra mon fuperbe ennemi ; Je le vis , je rougis , je pâlis i fa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue: Mes yeux ne voy oient plus, je ne pouvois parler, Je remis tout mon corps Se tranlîr & brûler. Je reconnus Venus... | |
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