Voltaire's Zaïre and Épîtres

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Scott, Foresman, 1902 - 183 עמודים
 

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עמוד 94 - Ton Dieu que tu trahis, ton Dieu que tu blasphèmes, Pour toi, pour l'univers, est mort en ces lieux mêmes; En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres: Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
עמוד 94 - C'est le sang des héros, défenseurs de ma loi ; C'est le sang des martyrs. O fille encor trop chère ! Connais-tu ton destin ? Sais-tu quelle est ta mère ? Sais-tu bien qu'à l'instant que son flanc mit au jour Ce triste et dernier fruit d'un malheureux amour, Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée ? Tes frères, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs bras sanglants tendus du haut des cieux.
עמוד 93 - Dissipez mes soupçons, ôtez-moi cette horreur, Ce trouble qui m'accable au comble du bonheur. Toi qui seul as conduit sa fortune et la mienne , Mon Dieu qui me la rends , me la rends-tu chrétienne? Tu pleures , malheureuse , et tu baisses les yeux ! Tu te tais! je t'entends! ô crime!
עמוד 149 - C'est donc ainsi, troupe absurde et frivole, Que nous usons de ce temps qui s'envole; C'est donc ainsi que nous perdons des jours Longs pour les sots, pour qui pense si courts.
עמוד 94 - C'est ma seule prison qui t'a ravi ta foi. Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines...
עמוד 61 - Depuis cinq ans entiers chaque jour je la vois , Et crois toujours la voir pour la première fois.
עמוד 110 - Il vaut mieux oublier jusqu'au nom de Zaïre. Allons, que le sérail soit fermé pour jamais ; Que la terreur habite aux portes du palais ; Que tout ressente ici le frein de l'esclavage. Des rois de l'Orient suivons l'antique usage.
עמוד 73 - Les soudans qu'à genoux cet univers contemple , Leurs usages, leurs droits, ne sont point mon exemple-, Je sais que notre loi, favorable aux plaisirs, Ouvre un champ sans limite à nos vastes désirs...
עמוד 94 - C'est ici la montagne où, lavant nos forfaits, II voulut expirer sous les coups de l'impie, C'est là que de sa tombe il rappela sa vie. Tu ne saurais marcher dans cet auguste lieu, Tu n'y peux faire un pas sans y trouver ton Dieu; Et tu n'y peux rester sans renier ton père, Ton honneur qui te parle, et ton Dieu qui t'éclaire. Je te vois dans mes bras et pleurer et frémir; Sur ton front pâlissant Dieu met le repentir...
עמוד 71 - J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris, musulmane en ces lieux. L'instruction fait tout; et la main de nos pères Grave en nos faibles cœurs ces premiers caractères Que l'exemple et le temps nous viennent retracer, Et que peut-être en nous Dieu seul peut effacer.

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