Poésiesnakladatel není známý, 1781 - 176 עמודים |
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affez ainfi Apollon Ariman Arts auffi autels avoit befoins Bonheur c'eft C'eſt carriere CHANT Ciel Cieux cœur connoiffances connoître courſe crime defir defirs déja Dieu Dieux efprit eft-il Elidor eſt étoient étoit fage faint fans ceffe fans doute favez fecours fecret fein féjour feme fenfible fens fentir feul fiecle fleurs foible foin foit fon ame font Fontenelle fource fous fouvent fpectacle fublime fuis fuit fuperbe fur la terre gloire goût Helvetius heureux homme humains ivreffe j'ai joug jour jufte l'aftre l'Amour l'efprit l'homme l'Univers laiffe Lettres lieux loix lorfque lumiere Madame du Châtelet main malheur maux Molleffe monde Monfieur monftre mortels n'eft n'étoit naiffant Netzanire orgueil Oromaze paffe paffion par-tout paroît penfer Philofophie plaifir plaifirs plaiſirs plufieurs Poëme POEME ALLÉGORIQUE pouvoit préfent puiffance puiffant raiſon refforts refte richeffe Rois Sage Sageffe ſes ſon Sybarite talens temple tour-à-tour Univers vaftes vertu vois Voltaire yeux
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עמוד 138 - ... le moindre défaut ; fi une conjonction eft oubliée; enfin, fi le mot le plus propre n'eft pas employé , ou s'il n'eft pas à fa place , concluez alors que l'or de cette penfée n'eft pas bien enchâfle.
עמוד 120 - Pour les cœurs corrompus l'amitié n'est point faite. O divine amitié ! félicité parfaite ! Seul mouvement de l'âme où l'excès soit permis, Change en bien tous les maux où le ciel m'a soumis. Compagne de mes pas dans toutes mes demeures, Dans toutes les saisons et dans toutes les heures, Sans toi tout homme est seul ; il peut, par ton appui, Multiplier son être et vivre dans autrui.
עמוד 119 - Plus d'amour ; et l'ennui détruisait l'univers. Un dieu qui prit pitié de la nature humaine Mit auprès du Plaisir le Travail et la Peine : La Crainte l'éveilla, l'Espoir guida ses pas ; Ce cortège aujourd'hui l'accompagne ici-bas.
עמוד 155 - ... sur les choses du théâtre; de plus, il ya des cœurs qui sont faits pour certains genres de dramatique; le mien, en particulier, est fait pour celui de Crébillon; et comme dans ma jeunesse je devins fou de...
עמוד 127 - Faible soulagement de ma douleur profonde ! Ta gloire durera tant que vivra le monde. Que fait la gloire à ceux que la tombe a reçus? Que t'importent ces pleurs dont le torrent m'inonde ? O douleur impuissante ! ô regrets superflus ! Je vis, hélas! je vis, et mon ami n'est plus. Par SAURIN, de l
עמוד 141 - E les verrai-je point ces beaux vers que vous faites , Ami charmant, fublime auteur? Le ciel vous anima de ces flammes fecrettes Que ne fentit jamais Boileau l'imitateur , Dans fes triftes beautés fi froidement parfaites.
עמוד 148 - Montmirel s'entend; car il faut que chaque chose soit à sa place. Si je savais où loge votre aimable Montmirel, si j'avais achevé Mahomet, je me confierais à lui in nomine tuo; mais je ne suis pas encore prêt ; et je pourrais bien vous envoyer de Bruxelles mon Alcoran.
עמוד 118 - Qui, plongés dans le luxe, énervés de mollesse, Nourrissez dans votre âme une éternelle ivresse ; Apprenez, insensés , qui cherchez le plaisir, Et l'art de le connaître, et celui de jouir.
עמוד 139 - Parnafle de vos talens ; ils vous honoreront fans doute , parce que vous ne négligerez jamais vos devoirs ; et puis voilà de plaifans devoirs ! Les fonctions de votre état ne font-elles pas quelque chofe de bien difficile pour une ame comme la vôtre ? Cette befogne fe fait comme on règle la dépenfe de fa maifon et le livre de fon maître d'hôtel. Quoi, pour être fermier général , on n'aurait pas la liberté de penfer ! Eh, morbleu...
עמוד 128 - Et fon or lui fervit à faire des heureux. Mais vers le déclin de fon âge , Des vices de fon temps , la défolante image * Vint le bleffer d'un trait fi douloureux Qu'au dé-là des rivages fombres, Entre Platon & Lucrèce attendu , Doucement il eft defcendu , Chercher des vertus chez les ombres.