Oeuvres complètes de M. de Voltaire, כרך 69Sanson et compagnie, 1792 |
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accufation affez affure ainfi auffi auteur Bernard de Fontenelle c'eft c'eſt calomnies cardinal caufe cent chaffé chofe chrétiens compofé confeil DIEU difait dire écrit écrivit efprit enfuite eſt expreffions fage faint fang fans fatire favait favans favoir fcience feconde fecours fecret fefait femble fentiment ferait Ferney fervice fervir feul fiècle figner fingulière fociété foit font fous fouvent françaiſe ftyle fuis fujet fur-tout gens de lettres goût Henriade homme honnêteté imprimer j'ai jamais jéfuites jufqu'à jufte juftice Juifs l'abbé l'auteur l'efprit l'Eglife l'hiftoire laiffer libelle livre long-temps Louis XIV madame madame Denis madame du Châtelet mauvaiſe meffieurs Mélanges littér ment méprife miférable mille miniftre Monfieur n'eft n'eſt Newton Nonotte ouvrage paffer parler penfer perfécuté perfonne philofophie pièce Pierre Corneille plaifir plufieurs poëte préfent prefque prince Pruffe raifon refpect refte religion Rouffeau Rouſſeau s'eft Spinofa Voltaire دو دو رو وو
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עמוד 129 - Si je veux d'un galant * dépeindre la figure, Ma plume pour rimer trouve l'abbé de Pure \ Si je pense exprimer un auteur sans défaut, La raison dit Virgile, et la rime Quinault ". Enfin, quoi que je fasse, ou que je veuille faire.
עמוד 98 - Ce pain, cet aliment dans mon corps digéré, Se transforme en un lait doucement préparé ? Comment, toujours filtré dans...
עמוד 98 - Mais qui donne à mon sang cette ardeur salutaire? Sans mon ordre il nourrit ma chaleur nécessaire. D'un mouvement égal il agite mon cœur ; Dans ce centre fécond il forme sa liqueur...
עמוד 66 - II regarde son trône, et rien de plus. Régnez; Rome vous craindra plus que vous ne la craignez '. Malgré cette puissance et si vaste et si grande , Vous pouvez déjà voir comme elle m'appréhende , Combien en me perdant elle espère gagner, Parce qu'elle prévoit que je saurai régner.
עמוד 331 - Le triomphe est la plus belle chose du monde : les Vive le Roi ! les chapeaux en l'air au bout des baïonnettes, les compliments du maître à ses guerriers, la visite des retranchements, des villages et des redoutes si intactes, la joie, la gloire, la tendresse! Mais le plancher de tout cela est du sang humain, des lambeaux de chair humaine.
עמוד 313 - Jamais on ne parla en aucun lieu du monde avec tant de liberté de toutes les superstitions des hommes, et jamais elles ne furent traitées avec plus de plaisanteries et de mépris. Dieu était respecté, mais tous ceux qui avaient trompé les hommes en son nom n'étaient pas épargnés.
עמוד 70 - Le lendemain nouvelle affaire , Pour le berger le troc fut bon , Car il obtint de la bergère Trente baifers pour un mouton.
עמוד 110 - Voulez-vous sur la scène étaler des ouvrages Où tout Paris en foule apporte ses suffrages , Et qui, toujours plus beaux plus ils sont regardés, Soient au bout de vingt ans encor redemandés?
עמוד 29 - J'ai vu et reconnu les erreurs, les abus, les vanités, les folies, et les méchancetés des hommes; je les ai haïs et détestés; je ne l'ai osé dire pendant ma vie, mais je le dirai au moins en mourant et après ma mort; et c'est afin qu'on le sache, que je fais et écris le présent Mémoire, afin qu'il puisse servir de témoignage de vérité à tous ceux qui le verront et qui le liront, si bon leur semble.
עמוד 223 - J'estime plus ces honnêtes enfants Qui de Savoie arrivent tous les ans, Et dont la main légèrement essuie Ces longs canaux engorgés par la suie...