La Revue du siècle, littéraire, artistique & scientifique, כרך 81894 |
מהדורות אחרות - הצג הכל
מונחים וביטויים נפוצים
ACANTHE Achille Millien aimé âme amour années Appian aqueducs artiste aujourd'hui beau belle c'était Camille Roy Caveau lyonnais chanson chante charme Charvet chose ciel Clair Tisseur Claude Claude Gauthier cœur Cogordan collège concours Consulat cours critique Croix-Rousse d'après Diday dire Divitiac eau-forte eaux élèves enfants Épidaure Eugène Arnaud Faculté des lettres famille femme fille fleurs fontaine Fourvière française Grèce Guimet Gustave Nadaud Henri homme j'ai jamais Jean Jérôme Doucet jeune jour KARL l'amour l'auteur l'École laisse Leconte de Lisle livre LYDIE lyonnaise maison Maistre maître médaille ment Morel de Voleine mort musique OCTAVE œuvre passé Pauca Paul pauvre peintre pensée Pharmacies philosophie Piedagnel Pierre place plages poésie poète portrait premier professeur publié reste rêve Revue du Siècle Rhône rien Romains roses rythme Saône savant sentiment sera seul Sidonie Société soir soleil souvent statue succès syllabes TABLETTES DU MOIS talent Tisseur trouve vieille yeux Yves Berthou
קטעים בולטים
עמוד 108 - C'est à notre sexe sans doute qu'il appartient de former des géomètres, des tacticiens, des chimistes, etc.; mais ce qu'on appelle l'homme, c'est-à-dire l'homme moral, est peut-être formé à dix ans ; et s'il ne l'a pas été sur les genoux de sa mère, ce sera toujours un grand malheur.
עמוד 64 - Le jour vient, le départ aussi. — 'Allons ! Adieu . . . Mais qu'est ceci ? Mon sac est plus lourd que la veille . . . Ah ! bonne hôtesse ! Ah ! chère vieille, Pourquoi tant me gâter, pourquoi?
עמוד 476 - Les chevaux de la mort se mettent à hennir, Et sont joyeux, car l'âge éclatant va finir; Ce siècle altier qui sut dompter le vent contraire, Expire ... — O Gautier!
עמוד 597 - Tout passe. — L'Art robuste Seul a l'éternité, Le buste Survit à la cité. Et la médaille austère Que trouve un laboureur Sous terre Révèle un empereur.
עמוד 146 - ... pendant sept ans, la femme qu'il doit épouser. Monsieur de Morand m'a donné une grande marque d'estime en n'opposant jamais le moindre obstacle à ma liaison avec sa fille : je puis enfin lui témoigner ma reconnaissance en travaillant au bonheur de mon amie. Au surplus, mon cher, vous croirez sans peine que le mariage, pour l'homme tant soit peu sage, se fait comme le salut, avec crainte et tremblement. Oh...
עמוד 223 - C'est qu'aussi Louise Labé, telle qu'on la rêve de loin et telle que nous l'avons devinée d'après ses aveux, demeure, par plus d'un aspect, le type poétique et brillant de la race des femmes lyonnaises, éprises qu'elles sont de certaines fêtes naturelles de la vie, se visitant volontiers entre elles avec des bouquets à la main, et goûtant d'instinct les vives élégances, les fleurs et les parfums. Que si l'on nous pressait trop sur cette théorie des Lyonnaises que nous ne croyons que vraie,...
עמוד 180 - ... dans son regard si expressif, et nous pourrons travailler encore. Voici l'encre bleue, le porte-plume d'ivoire et les feuillets blancs disposés sur la table, en face des longues rangées de livres richement vêtus et auprès de la fenêtre grande ouverte.
עמוד 64 - Le soc languit sous des bras mutilés. Près de la borne où chaque état commence, Aucun épi n'est pur de sang humain. Peuples, formez une sainte alliance, Et donnez-vous la main.
עמוד 141 - ... l'affabilité paternelles. En même temps, il se montre animé d'idées libérales et parlementaires, dans le vieux sens du mot. Il se félicite de la suppression progressive des coutumes féodales. Il croit à la vertu des remonstrances du sénat de Savoie. Il ne veut pas le gouvernement des prêtres; mais il veut que la religion soit prospère et honorée, car pour lui, déjà, « la religion est le plus puissant des ressorts politiques, le vrai nerf des États ». C'est pour cela que, s'il...
עמוד 528 - Pour ne voir ici-bas que laideur et que vice, Quelle est ta beauté propre et ta propre vertu? A mes vagues regrets d'un ciel que j'imagine, A mes dégoûts divins, il faut une origine: Vainement je la cherche en mon cœur de ïimon ; Et, moi-même étonné des douleurs que j'exprime, J'écoute en moi pleurer un étranger sublime Qui m'a toujours caché sa patrie et son nom.