Répertoire général du Théâtre français: Comédies en verse, I-XVII, t.52-65, Comédies en prose, I-XIVT. Dabo, 1821 |
מהדורות אחרות - הצג הכל
מונחים וביטויים נפוצים
Adieu AGATHON AGÉNOR aïeux aime ALBIONE allez amant AMINTE appas ARSINOÉ assez auroit avez avoit beau BEAUGÉNIE belle BOISLUISANT BONIFACE bonté Boursault BRIGANDEAU c'étoit CÉCILE chagrin charmes chose ciel CLÉON CLÉONICE cœur COLINETTE courroux CRÉSUS crois d'Ésope demain dessein dieux dire DORIS DOUCET doux É SOPE ÉLISE époux ÉSOPE Est-ce êtes étoit EUPHROSINE fable femme fille foible FURET GRIFFET homme honnête hymen IPHICRATE IPHIS j'ai J'aime j'aurois j'en jamais jour l'âme l'auteur du Mercure l'hymen LAÏS LÉARQUE LÉONIDE LISETTE LONGUEMAIN m'en MADAME DE CALVILLE MADAME GUILLEMOT malheur MERCURE GALANT mérite MERLIN MESNIL MICHAUT mieux monsieur mordié MOTTE n'ai n'en ORIANE ORONTE parler paroît père Phrygie PIERROT plaisir PLEXIPE PREMIER COMÉDIEN procureur puis-je qu'un raison rendre Rhodope rien RISSOLE rois s'il vous plaît sais SANGSUE SCÈNE VII seigneur seroit seul soins SOPE sort Théâtre TIRRÈNE tour du bâton TRASYBULE vais vertu veux Voilà vois voudrois yeux zèle
קטעים בולטים
עמוד 79 - Lorsqu'on me veut railler, je donne sur la face. Merlin. Et tu crois au Mercure occuper une place, Toi ? Tu n'y seras point, je t'en donne ma foi. La Rissole Mordié ! je me bats l'œil du Mercure et de toi. Pour vous faire dépit tant...
עמוד 78 - Eh, mordié! comment donc voulez-vous que je dise? Si vous me reprenez lorsque je dis des mais, Inégals, principals, et des vice-amirals, Lorsqu'un moment après, pour mieux me faire entendre, Je dis fataux, navaux, devez-vous me reprendre?
עמוד 69 - N'était qu'il est honteux de vouloir se louer, Que l'on ne voit que nous se faire violence , Et trouver du plaisir à garder le silence.) Mais je ne comprends point par quelle injuste loi Vous prétendez, ma sœur, vous mieux taire que moi. Depuis six mois entiers que j'apprends à me taire, J'ai fait pour réussir tout ce que j'ai pu faire; Et dans ce grand dessein je vous suis d'assez près Pour devoir me flatter d'un semblable progrès. Je consens comme vous que monsieur en décide.
עמוד 104 - Toujours celle d'Ésope a paru sans défaut. Crésus , à qui le ciel fit un si beau partage Qu'une richesse immense est son moindre avantage, Crésus, le plus heureux de tous les potentats, Se repose sur lui du soin de ses états. Dans un poste si haut, à quoi crois-tu qu'il pense? A vivre dans le faste et parmi l'opulence? A bâtir sa maison des dépouilles d'autrui?
עמוד 30 - On lui prête sans peine un million et plus : Chacun ouvrant sa bourse, à sa moindre requête, Lui jette avec plaisir son argent à la tête ; Et quand ses créanciers redemandent leur bien , L'emprunteur infidèle abandonnant le sien , A la face des lois fait un vol manifeste ; Et pour cent mille écus un million lui reste.
עמוד 76 - L'un vaut l'autre. Je tiens un registre fidèle Ou chaque heure du jour j'écris quelque nouvelle : Fable, histoire, aventure, enfin quoi que ce soit, Par ordre alphabétique est mis en son endroit. Parlez. LA RISSOLE. Je voudrais bien être dans le Mercure; J'y ferais, que je crois, une bonne figure. Tout à l'heure, en buvant, j'ai fait réflexion Que je fis autrefois une belle action; Si le roi la savait, j'en aurais de quoi vivre.
עמוד 13 - Il n'est point de repas qui pour elle ait des charmes Si l'on met de travers l'écusson de ses armes : Qui lui porte un bouillon trop doux ou trop salé, D'auprès de sa personne est sûr d'être exilé ; Et même elle refuse, étant fort enrhumée, De prendre...
עמוד 244 - S'il reprend leurs défauts, le doit faire avec art. II faut , plein du respect que leur présence inspire , Les leur faire sentir , et non pas les leur dire ; Et prendre garde encore , en risquant ces leçons , Qu'ils ne connoissent pas que nous les connoissons.
עמוד 212 - Qu'on encense lu place autant que la personne ;' Qu'on me rend des honneurs qui ne sont pas pour moi , Et que le trône enfin l'emporte sur le roi.
עמוד 235 - Du sang de ses enfants assez souvent rougie , Les succès les plus beaux et les plus glorieux Ne sont pas sans chagrin pour les victorieux. Si l'un s'en réjouit, l'autre s'en désespère; Tel embrasse son fils , qui regrette son frère ; Et la guerre après soi traîne tant de malheurs, Qu'il est peu de lauriers qui ne coûtent des pleurs.