Les Annales romantiques: revue d'histoire du romantisme, כרך 2Léon Séché Bureau des Annales Romantiques., 1905 |
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עמוד 413 - Quand le raisin est mûr, par un ciel clair et doux, Dès l'aube, à mi-coteau, rit une foule étrange. C'est qu'alors dans la vigne, et non plus dans la grange, Maîtres et serviteurs, joyeux, s'assemblent tous. A votre huis, clos encor, je heurte. Dormez-vous ? Le matin vous éveille, éveillant sa voix d'ange. Mon compère, chacun en ce temps-ci vendange ; Nous avons une vigne : — eh bien ! vendangeons-nous? Mon livre est cette vigne où, présent de l'automne, » La grappe d'or attend, pour...
עמוד 26 - TOUJOURS ce souvenir m'attendrit et me touche, Quand lui-même, appliquant la flûte sur ma bouche, Riant et m'asseyant sur lui, près de son cœur, M'appelait son rival et déjà son vainqueur. Il façonnait ma lèvre inhabile et peu sûre A souffler une haleine harmonieuse et pure ; Et ses savantes mains...
עמוד 423 - Le cri du crieur de nuit. Oh! qu'il est doux, quand l'heure tremble au clocher, la nuit, de regarder la lune qui a le nez fait comme un carolus d'or!
עמוד 125 - Ah ! si dans ces instants où l'âme fugitive S'élance et veut briser le sein qui la captive, Ce Dieu, du haut du ciel répondant à nos vœux, D'un trait libérateur nous eût frappés tous deux ; Nos âmes, d'un seul bond remontant vers leur source, Ensemble auraient franchi les mondes dans leur course ; A travers l'infini, sur l'aile de...
עמוד 197 - Henri est mince, agile, bien fait; il est blond; il a les yeux bleus avec un trait dans l'œil gauche qui rappelle le regard de sa mère. Ses mouvements sont brusques; il vous aborde avec franchise; il est curieux et questionneur; il n'a rien de cette pédanterie qu'on lui donne dans les journaux; c'est un vrai petit garçon comme tous les petits f arçons de douze ans.
עמוד 151 - Un port de lettre, un omnibus sont des dépenses que je ne puis me permettre, et je m'abstiens de sortir pour ne pas user d'habits. Ceci est-il clair? Ne me contraignez donc plus à des voyages, à des démarches, à des visites qui me sont impossibles; n'oubliez pas que je n'ai plus que le temps et le travail pour richesse...
עמוד 280 - Plus tôt que je n'ai dû, je reviens dans la lice ; Mais tu le veux, ami ! Ta muse est ma complice ; Ton bras m'a réveillé ; c'est toi qui m'as dit : « Va ! » Dans la mêlée encor jetons ensemble un gage. » De plus en plus elle s'engage. » Marchons, et confessons le nom de Jéhova ! » J 'unis donc à tes chants quelques chants téméraires.
עמוד 392 - Si tu peux, fais que ton âme arrive, A force de rester studieuse et pensive, Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté. Gémir, pleurer, prier est également lâche. Fais énergiquement ta longue et lourde tâche, Dans la voie où le Sort a voulu t'appeler. Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler.
עמוד 308 - Phédon est par trop anacréontique. Quel parti notre grand Soumet eût tiré de ce grand sujet ! Il m'en avait un jour confié le projet. Son plan était admirable, et il sera peutêtre forcé d'y renoncer ; ce Socrate ébauché fera peutêtre trop de bruit pour qu'on ait l'air original en le traitant. Les sots iront toujours chercher le germe de ses beautés dans un hémistiche de l'autre. Je pleure tous les jours cette tragédie, je la pleure avec les larmes de la postérité.
עמוד 379 - Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie! La Parque à filets d'or n'ourdira point ma vie; Je ne dormirai point sous de riches lambris. Mais voit-on que le somme en perde de son prix? En est-il moins profond, et moins plein de délices*? Je lui voue au désert de nouveaux sacrifices. Quand le moment viendra d'aller trouver les morts, J'aurai vécu sans soins, et mourrai sans remords.