Jordano Bruno, כרך 1Ladrange, 1846 - 810 עמודים |
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עמוד 185 - Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas! de mon petit village Fumer la cheminée ? et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province et beaucoup davantage? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux Que des palais romains le front audacieux...
עמוד 329 - ... comment les Romains ont coutume de traiter les impies et les blasphémateurs. Voilà, mon cher ami, de quelle manière on procède chez nous contre les hommes , ou plutôt contre les monstres de cette espèce
עמוד 284 - Il ne la fait pas pour éblouir les hommes, pour apaiser des théologiens, pour se donner des protecteurs, pour désarmer un parti ; il parle en philosophe sans se nommer, sans s'afficher; il s'exprime en latin pour être entendu d'un très petit nombre. Voici sa profession de foi. PROFESSION DE FOI DE SPINOSA. « Si je concluais aussi que l'idée de Dieu, « comprise sous celle de l'infinité de l'uni...
עמוד 151 - Déjà il avait permis à celui qu'il nommait son grammairien, de citer Aristote avec éloge dans la confession d'Augsbourg ; plus tard , il lui accorda que « l'humaine raison, loin d'être un feu follet, était une faculté extraordinaire; que, si elle ne comprenait pas d'une manière positive ce qu'est Dieu, elle concevait du moins ce qu'il n'est pas; qu'enfin elle était quelque chose de surnaturel , un soleil et une rfit-initê placés dans notre existence pour tout dominer, et plutôt fortifiés...
עמוד 160 - C'est ici que votre Hercule a triomphé des portes de diamant qui ferment l'enfer et de la cité qu'embrassent trois murs et les neuf bras du Styx. Tu as vu la lumière, ô Luther; tu l'as contemplée; tu as entendu l'esprit de Dieu qui t'appelait, tu lui as obéi; tu as couru sans armes et faible au-devant de cet affreux ennemi des 'grands et des rois; tu l'as combattu avec ta parole, et, couvert de dépouilles et de trophées, tu es monté aux cieux. » Ces accents passionnés, où la colère le...
עמוד 265 - S'il appelle sa doctrine la plus monstrueuse hypothèse qui se puisse imaginer, la plus absurde et la plus diamétralement opposée aux notions les plus distinctes de l'esprit humain...
עמוד 339 - On y racontait sa vie, ses études, ses opinions, le zèle que les inquisiteurs avaient déployé pour le convertir, leurs avertissements fraternels, et l'impiété obstinée dont il avait fait preuve. Ensuite il fut dégradé, excommunié et livré au magistrat séculier, avec prière toutefois qu'on le punît avec clémence et sans effusion de sang.
עמוד 296 - C'est à ce point de vue que Jacobi écrivait cette éloquente et étrange invocation : « Sois béni, ô grand et saint Baruch ! en méditant sur la nature de l'Être suprême, tu as pu t'égarer en paroles; mais la vérité divine était dans ton âme ; l'amour de Dieu faisait toute ta vie ' . » D'autre écrivains, marchant sur les traces de Jacobi, ont comparé Spinoza à un mouni indien.
עמוד 284 - Un certain milieu siéroit bien dans un ouvrage comme le vôtre. Mais si cela vous arrêtoit trop, il ne faudrait point s'y amuser. Mes remarques, cependant, y peuvent donner quelque occasion. Je vous souhaite, Monsieur, autant de vie qu'il en faut pour goûter les fruits de vos travaux, et je suis...
עמוד 336 - Eva originem ducere, reliquos ab iis duobus, quos Deus pridie fecerat, Christum non esse Deum, sed fuisse magum insignem et hominibus illusisse, ac propterea merito suspensum (italice impiccato*), non crucifixum esse, Prophetas et Apostolos fuisse homines nequam, magos et plerosque suspensos; denique infinitum foret omnia, eius portenta recensere, quae ipse et libris et viva voce asseruit. Uno verbo ut dicam, quicquid...