...ajoutée à la douleur , que celle de souffrir devant le monde ; et » vous-même n'êtes ni d'ans une assez bonne santé', ni d'un caractère à » pouvoir supporter la vue de la souffrance, fous m 'obligerez , madame , » et pour vous et pour moi , si vous voulez avoir la complaisance de...

...lui répondit-il du ton le plus honnête et le plus atten" dri, je suis bien sensible à toutes vos bontés, mais vous voyez que «je souffre, et c'est...retirer , et me laisser avec ma femme > pendant quelque tems. Elle se retira presqu'aussitôt; dès qu'il fut * seul avec sa femme, il lui dit de venir s'asseoir...

...madame, lui répondit-il du ton le plus honnête et le plus attendri, je suis bien sensible à toutes vos bontés, mais vous voyez que je souffre, et c'est...monde ; vous-même, vous n'êtes ni d'une assez bonne VOL. i. 22 santé, ni d'un caractère à pouvoir supporter la vue de la souffrance. Vous m'obligerez,...

...lui répondit-il du ton le plus honnête et le plus «ttendri, je suis bien sensible à toutes vos bontés, mais vous voyez que je souffre, et c'est...ajoutée à la douleur, que celle de souffrir devant le inonde ; vous-même, vous n'êtes ni d'une assez bonne VOL. i. 22 santé, ni d'un caractère à pouvoir...

...se trouve au plus mal, il lui dit : « Ah! Madame, je suis bien sensible à toute votre sollicitude, à vos délicates bontés, mais vous voyez que je...pour moi, si vous voulez vous retirer et me laisser seul avec ma femme pendant quelque temps. » voyer demander tout ce dont il pourrait avoir besoin,...

...Madame, lui dit Rousseau attendri de la voir, je « suis bien sensible à toute votre sollicitude, à vos « délicates bontés, mais vous voyez que...douleur que celle « de souffrir devant le monde... Vous m'obligerez, « Madame, et pour vous et pour moi, si vous voulez, « vous retirer et me laisser...