Oeuvres complètes de P. de Ronsard, כרך 6P. Jannet, 1866 |
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aime Ains Ainsy amoureux Apollon aprés asseurée aureille avecques avoit Bacchus beau belle Belleau bien-heureux bisayeux bras celuy ceste chanter chesne ciel cieux cœur COLLIGNY corps costé d'estre Déesse dés desire dessous Dieu Dieux divine docte douce eschine Escosse espars esprit estoit estonnez estrange estre eust Evoé flame fleurs Folastries forests Fortune François front fust gaigner GAYETE gentil gloire grace Grecs gresle guerre hommes honneur ïach j'ay J'oy jamais jour Jupiter l'autre l'eau l'honneur lict loing main mainte maison maistre maistresse malheur mesme mestier mille monstre morions mort mourir Muses neuf Sœurs nuict Nymphes Ores Pallas parmy peuple pieds plaisir plein poësie poëte pource pourquoy Prelat premiere prés present Prince qu'un quoy REMY BELLEAU Ronsard Royne Sainct sang sçauroit sçavoir sçay sceptre seigneur seul sœur soleil soucy soudain terre teste tost tousjours vent vertu veux vostre vray yeux
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עמוד 14 - Riches d'esmail et d'ouvrages, ne font Luire un beau jour autour de vostre front ; Et vostre main, des plus belles la belle, N'a rien sinon sa blancheur naturelle, Et vos longs doigts, cinq rameaux inégaux, Ne sont pompeux de bagues ny d'anneaux, Et la beauté de vostre gorge vive N'a pour carquan que sa blancheur naïve.
עמוד 191 - Egipans qui portoient des cornes sur le front, Et qui ballant ' sautoient comme les chèvres font, Et le gentil troupeau des fantastiques fées Autour de moy dansoient à cottes agrafées.
עמוד 188 - L'EscoT, SEIGNEUR DE CLANY. JLUIS que Dieu ne m'a fait pour supporter les armes, Et mourir tout sanglant au milieu des alarmes En imitant les faits de mes premiers ayeux, Si ne veux-je pourtant demeurer ocieux; Ains, comme je pourray, je veux laisser mémoire Que...
עמוד 144 - J'amasse, trie et choisis le plus beau, Qu'en cent couleurs je peints en un tableau, Tantost en l'autre, et, Maistre en ma peinture, Sans me forcer j'imite la Nature.
עמוד 24 - Un bois sa fueille, un antre son effroy, Un grand Palais la pompe de son Roy, Et un anneau sa perle précieuse, Ainsi perdra la France soucieuse Ses ornemens, perdant la Royauté Qui fut sa fleur, sa couleur, sa beauté.
עמוד 55 - Par eux je voy que poéte je suis Plein de fureur ; car faire je ne puis Un trait de vers, soit qu'un Prince commande, Soit qu'une dame ou l'ami m'en demande, Et à tous coups la verve ne...
עמוד 167 - Ne les tourmente plus et t'enfuy de leur bord. Las ! si tu leur apprens à limiter la terre, Pour agrandir leurs champs ils se feront la guerre, Les procez auront lieu, l'amitié defaudra, Et l'aspre ambition tourmenter les viendra Comme elle fait ici nous autres, pauvres hommes, Qui par trop de raison trop misérables sommes; Ils vivent maintenant en leur âge doré.
עמוד 11 - Comme on voit d'un esclair s'évanouir le trait, Et d'elle n'a laissé sinon que le regret, Sinon le desplaisir qui me remet sans cesse Au cœur le souvenir d'une telle princesse.
עמוד 348 - Tu tombes comme une fusée Qu'une jeune pucelle au soir De sa quenouille laisse choir, Quand au fouyer elle sommeille, Frappant son sein de son oreille : Ou bien quand en filant le jour Voit...
עמוד 192 - Maugré tous ses parens a mis sa fantaisie. Et pour cela tu fis engraver sur le haut Du Louvre une Déesse, à qui jamais ne faut Le vent à joue enflée au creux d'une...