Ronsard & la Pléiade

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Macmillan and Company, limited, 1906 - 266 עמודים
 

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עמוד 102 - ANTRES, et vous, fontaines, De ces roches hautaines Qui tombez contre-bas D'un glissant pas ; Et vous, forests et ondes Par ces prez vagabondes, Et vous, rives et bois. Oyez ma vois. Quand le ciel et mon heure Jugeront que je meure, Ravi...
עמוד 87 - Las ! voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place Las ! las ! ses beautez laissé cheoir ! O vrayment marastre Nature, Puis qu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que...
עמוד 73 - Rome de Rome est le seul monument, Et Rome Rome a vaincu seulement. Le Tybre seul, qui vers la mer s'enfuit, Reste de Rome. O mondaine inconstance ! Ce qui est ferme, est par le temps désirait, Et ce qui fuit, au temps fait résistance.
עמוד 175 - Avril, la grace, et le ris De Cypris, Le flair et la douce haleine ; Avril, le parfum des dieux, Qui, des cieux, Sentent l'odeur de la plaine; C'est...
עמוד 191 - J'estoy peu sage, Qui n'usoy point de la beauté Que si tost le temps a osté De mon visage. Laissons ce regret et ce pleur A la vieillesse ; Jeunes, il faut cueillir la fleur De la jeunesse. Or...
עמוד 143 - Comme on voit sur la branche au mois de May la rose En sa belle jeunesse. en sa premiere fleur Rendre le ciel jaloux de sa vive couleur. Quand l'Aube de ses pleurs au poinct du jour l'arrose: La grace dans sa fueille.
עמוד 151 - Le temps s'en va, le temps s'en va, ma Dame, Las ! le temps non, mais nous nous en allons...
עמוד 153 - Lors vous n'aurez servante oyant telle nouvelle, Desja sous le labeur à demy sommeillant, Qui au bruit de mon nom ne s'aille resveillant, Bénissant vostre nom de louange immortelle.
עמוד 138 - D'Amour qui m'échauffe l'âme, Y voyant de tous côtés Les beautés Qu'il emprunte de ma dame. Quand je vois tant de couleurs Et de fleurs Qui émaillent un rivage, Je pense voir le beau teint Qui est peint Si vermeil en son visage.
עמוד 164 - Ne me laisse longtemps languir en maladie, Tourmenté dans un lict ; mais puis qu'il faut mourir, Donne-moy que soudain je te puisse encourir, Ou pour l'honneur de Dieu, ou pour servir mon Prince, Navré d'une grand' playe au bord de ma province.

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