Arras sous la Révolution, כרך 1Sueur-Charruey, 1882 - 794 עמודים |
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10 août adresse août Archives municipales Arras arrêté artésienne assemblée assignats Augustin Robespierre avaient avez avocat bailliage Bapaume bureau c'était cahier cahier de doléances cent chargés citoyens clergé Comité de surveillance commissaires commune d'Arras concitoyens Conseil d'Artois Conseil général Constitution Convention Convention nationale corps administratifs curé décida déclara décret demande députés devait Directoire du Département Directoire du District District d'Arras doléances donner Dubois de Fosseux duc de Guines Dumouriez échevins électeurs élections électorale Etats généraux étoit fédérés fussent garde nationale Guffroy hommes Joseph Le Bon l'administration l'Assemblée nationale Lebucquière liberté Louis XVI Maire maison mayeur membres ment Messieurs Municipalité d'Arras n'était nation noblesse nomination nommé officiers municipaux paroisses Pas-de-Calais patrie patriotisme peuple Porion pouvait présentait Président prêtres procès-verbal proclamation Procureur syndic public publique Registre aux délibérations rendre représentants réunis Révolution Robespierre s'était scrutin séance sentiments serait serment seroit St-Omer suffrages suivant Tiers-Etat tion toyens Tribunal trouvait voix votants
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עמוד 16 - Crois-moi, jeune et belle Ophélie , Quoi qu'en dise le monde , et malgré ton miroir, Contente d'être belle et de n'en rien savoir, Garde toujours ta modestie. Sur le pouvoir de tes appas Demeure toujours alarmée ; Tu n'en seras que mieux aimée, Si tu crains de ne l'être pas.
עמוד 105 - ... de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse qui lui est confié, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi , et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi.
עמוד 262 - État vraiment libre ne doit souffrir dans son sein aucune corporation, pas même celles qui, vouées à l'enseignement public, ont bien mérité de la patrie...
עמוד 217 - Des troupes nombreuses s'avancent vers nos frontières. Tous ceux qui ont horreur de la liberté s'arment contre notre Constitution. « CITOYENS, LA PATRIE EST EN DANGER. « Que ceux qui vont obtenir l'honneur de marcher les premiers pour défendre ce qu'ils ont de plus cher se souviennent toujours qu'ils sont Français et libres; que leurs concitoyens maintiennent dans leurs foyers la sûreté des personnes et des propriétés ; que les magistrats du peuple veillent attentivement ; que tous, dans...
עמוד 272 - Courage, mon cher ami, nous sommes au comble de nos vœux. Si tu appuies fortement la pétition des Commissaires, quel que doive être le succès de notre corps électoral, ton frère alors sera nommé d'emblée ; sinon, je crains toujours que la rage de nos ennemis ne l'éloigne, à force de calomnies.
עמוד 217 - Que ceux qui vont obtenir l'honneur de marcher les premiers pour défendre ce qu'ils ont de plus cher, se souviennent toujours qu'ils sont Français et libres; que leurs concitoyens maintiennent dans leurs foyers la sûreté des personnes et des propriétés; que les magistrats du peuple veillent attentivement ; que tous , dans un courage calme , attribut de la véritable force , attendent pour agir le signal de la loi , et la patrie sera sauvée.
עמוד 294 - Depuis longtemps vous avez des droits à l'estime de vos concitoyens; ils viennent de trouver un moyen de vous donner des preuves d'une confiance que vous ne démentirez jamais, en vous nommant d'une voix unanime député à la Convention. » Joseph Le Bon aurait pourtant mérité de trouver plus d'empressement de la part des électeurs, car il ne se ménageait pas pour leur être agréable. Il était revenu de son voyage de Paris avec Personne, et tous deux s'étaient empressés de rendre compte...
עמוד 210 - Vous venez de vous placer au rang des conspirateurs contre l'égalité et la liberté, votre conduite en ces circonstances nous démontre que vous êtes contre le peuple: vous vous liguez avec les ennemis déclarés de la nation, vous appuyez leur cause; vous sollicitez, par votre démarche inconstitutionnelle, l'usage arbitraire du veto. Vous êtes donc les ennemis du peuple qui vous a fait ce que vous êtes. Nous pardonnerions à des esclaves nommés par le roi de soutenir par toutes sortes de...
עמוד 158 - Je jure d'employer les armes remises en mes mains, à la défense de la patrie, et à maintenir contre tous les ennemis du dedans et du dehors, la constitution décrétée par l'assemblée nationale ; de mourir plutôt que de souffrir l'invasion du territoire français par les troupes étrangères, et de n'obéir qu'aux ordres qui seront donnés en conséquence des décrets de l'assemblée nationale.