Lycée: ou Cours de littérature ancienne et moderne

כריכה קדמית
P. Pourrat frères, 1839
 

מהדורות אחרות - הצג הכל

מונחים וביטויים נפוצים

קטעים בולטים

עמוד 247 - Entre le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
עמוד 157 - Hippolyte aime, et je n'en puis douter. Ce farouche Ennemi qu'on ne pouvait dompter, Qu'offensait le respect, qu'importunait la plainte, Ce Tigre, que jamais je n'abordai sans crainte, Soumis, apprivoisé, reconnaît un Vainqueur. Aricie a trouvé le chemin de son cœur.
עמוד 143 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale. Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains. Minos juge aux enfers tous les pâles humains. Ah ! combien frémira son ombre épouvantée , Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée , Contrainte d'avouer tant de forfaits divers , Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible?
עמוד 191 - II fut des Juifs, il fut une insolente race; « Répandus sur la terre, ils en couvraient la face ; « Un seul osa d'Aman attirer le courroux, « Aussitôt de la terre ils disparurent tous...
עמוד 139 - C'est moi, Prince, c'est moi, dont l'utile secours Vous eût du Labyrinthe enseigné les détours. Que de soins m'eût coûtés cette tête charmante ! Un fil n'eût point assez rassuré votre amante. Compagne du péril qu'il vous fallait chercher, Moi-même devant vous j'aurais voulu marcher; Et Phèdre au Labyrinthe avec vous descendue Se serait avec vous retrouvée, ou perdue.
עמוד 217 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
עמוד 142 - Misérable! et je vis! et je soutiens la vue De ce sacré Soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel , tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher?
עמוד 141 - Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler, Je sentis tout mon corps et transir, et brûler.
עמוד 196 - Je ne trouve qu'en vous je ne sais quelle grâce Qui me charme toujours et jamais ne me lasse. De l'aimable vertu doux et puissants attraits ! Tout respire en Esther l'innocence et la paix. Du chagrin le plus noir elle écarte les ombres, Et fait des jours sereins de mes jours les plus sombres ; Que dis-je?
עמוד 63 - Non, princes, ce n'est point au bout de l'univers Que Rome fait sentir tout le poids de ses fers ; Et, de près inspirant les haines les plus fortes, Tes plus grands ennemis , Rome , sont à tes portes. Ah! s'ils ont pu choisir pour leur libérateur Spartacus , un esclave , un vil gladiateur : S'ils suivent au combat des brigands qui les vengent , De quelle noble ardeur pensez-vous qu'ils se rangent Sous les drapeaux d'un roi longtemps victorieux, Qui voit jusqu'à Cyrus remonter ses aïeux? Que...

מידע ביבליוגרפי