 J'entends l'airain frémir au sommet de ses tours ; Il semble que dans l'air une voix qui me pleure Me rappelle à mes premiers jours. Oui, je reviens à toi, berceau de mon enfance, Embrasser pour jamais tes foyers protecteurs. Loin de moi les cités...  Œuvres complètes de M. A. de Lamartine - עמוד 106מאת Alphonse de Lamartine - 1834תצוגה מלאה - מידע על ספר זה
 | Alphonse de Lamartine - 1823 - 228 דפים
...entrecoupés de ruisseaux et d'ombrages, Seuil antique où mon père, adoré comme un roi, Comptoit ses gras troupeaux rentrant des pâturages, Ouvrez-vous!...pour jamais tes foyers protecteurs ; Loin de moi les cités et leur vaine opulence, Je suis né parmi les pasteurs! Enfant, j'aimois, comme eux, à suivre... | |
 | 1823 - 510 דפים
...Voilà du Dieu des champs la tustique demeure, J'entends l'airain frémir au sommet de ses tours; II semble que dans l'air une voix qui me pleure Me rappelle...pour jamais tes foyers protecteurs;, Loin de moi les cités et leur vaine opulence ! Je suis né parmi les pasteurs. Enfant, j'aimais, comme eux ,.a suivre... | |
 | 1823 - 506 דפים
...démettre , J'entends l'airain frémir au sommet dé ses tours; II semble que dans l'air une voix qui nie pleure Me rappelle à mes premiers jours ! Oui , je...pour jamais tes foyers protecteurs ;( Loin de moi les cités et leur vaine opulence ! Je suis né parmi les pasteurs. ..... '— Enfant, j'aimais, comme... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1824 - 296 דפים
...Voilà du dieu des champs la rustique demeure. J'entends l'airain frémir au sommet de ses tours; II semble que dans l'air une voix qui me pleure Me rappelle...pour jamais tes foyers protecteurs; Loin de moi les cités et leur vaine opulence , Je suis né parmi les pasteurs ! Enfant, j'aimois, comme eux, à suivre... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1826 - 448 דפים
...Aroilà du Dieu des champs la rustique demeure. J'entends l'airain frémir au sommet de ses tours ; 1I semble que dans l'air une voix qui me pleure Me rappelle...pour jamais tes foyers protecteurs; Loin de moi les cités et leur vaine opulence, Je suis né parmi les pasteurs ! Enfant, j'aimais, comme eux, à suivre... | |
 | M. J. Janin - 1829 - 326 דפים
...d'un oiseau . Sa voix dans le cœur expire , Et l'humble corde soupire Comme un flexible roseau ï Oui, je reviens à toi, berceau de mon enfance , Embrasser...pour jamais tes foyers protecteurs; Loin de moi les cités et leur vainc opulence, Je suis né parmi les pasteurs ! Enfant jamais comme eux à suivre dans... | |
 | Fleurs - 1834 - 264 דפים
...Voilà du dieu des champs la rustique demeure. J'entends l'airain frémir au sommet de ses tours ; II semble que dans l'air une voix qui me pleure Me rappelle...pour jamais tes foyers protecteurs ; Loin de moi les cités et leur vaine opulence, Je suis né parmi les pasteurs ! Enfant, j'aimais comme eux à suivre... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1834 - 354 דפים
...Voilà du Dieu des champs la rustique demeure. J'entends l'airain frémir au sommet de ses tours; II semble que dans l'air une voix qui me pleure Me rappelle...Oui , je reviens à toi , berceau de mon enfance, flBfebrasser pour jamais tes foyers protecteurs ; TLoin de moi les cités et leur vaine opulence, Je... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1836 - 754 דפים
...mon père, adoré comme un rot , Comptait ses gras troupeaux rentrant des pâturages , Ouvrez- vous ! ouvrez-vous ! c'est moi. Voilà du Dieu des champs...reviens à toi , berceau de mon enfance , Embrasser pour jamafs tes foyers protecteurs ; Loin de moi les cités et leur vaine opulence , Je suis né parmi les... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1848 - 354 דפים
...Voilà du dieu des champs la rustique demeure. J'entends l'airain frémir au sommet de ses tours ; 11 semble que dans l'air une voix qui me pleure Me rappelle...pour jamais tes foyers protecteurs; Loin de moi les cités et leur vaine opulence, Je suis né parmi les pasteurs ! Enfant, j'aimais, comme eux, à suivre... | |
| |
