L'éclat resplendissant de l'aube sur les armes ; Et ta main ne flattait que ton léger coursier, Quand les flots ondoyans de sa pâle crinière Sillonnaient, comme un vent, la sanglante poussière, Et que ses pieds brisaient l'acier. Premièros méditations et Nouvelles méditations - עמוד 206מאת Alphonse de Lamartine - 1834 - 324 דפיםתצוגה מלאה - מידע על ספר זה
| Alphonse de Lamartine - 1823 - 228 דפים
...les armes, Tu vi»de la beauté le sourire ou les larmes, Sans sourire et sans soupirer! Tu n'aimois que le bruit du fer, le cri d'alarmes! L'éclat resplendissant de l'aube sur les armes ! Et ta main ne flattoit que ton léger coursier, Quand les flots ondoyants de sa pâle crinière Sillonnoient comme... | |
| Alphonse de Lamartine - 1824 - 296 דפים
...armes , Tu vis de la beauté le sourire ou les larmes , Sans sourire et sans, soupirer. Tu n'aimois que le bruit du fer, le cri d'alarmes , L'éclat resplendissant de l'aube sur les armes ; Et ta main ne flattoit que ton léger coursier, Quand les flots ondoyants de sa pâle crinière Sillonnoient, comme... | |
| Alphonse de Lamartine - 1826 - 448 דפים
...s'enivrer. Comme un soldat debout qui veille sous ses armes , Tu vis de la beauté le sourire ou les larmes, Sans sourire et sans soupirer. Tu n'aimais...flattait que ton léger coursier, Quand .les flots ondoyants de sa pâle crinière Sillonnaient, comme un vent, la sanglante poussière, Et que ses pieds... | |
| 1830 - 484 דפים
...les flots ondoyants de sa pale criniere Sillonnaient comme un vent la sanglante poussiere, Et que ces pieds brisaient l'acier. " Tu grandis sans plaisir, tu tombas sans murmure, Rien d'humain ne battait sous ton epaisse armure : Sans haiiie ct sans amour, tu vivais pour penser. Comine 1'aigle regnant... | |
| M. J. Janin - 1829 - 326 דפים
...s'enivrer! Comme un soldat debout qui veille sous les armes , Tu vis de la beauté le sourire et les larmes , Sans sourire et sans soupirer ! Tu n'aimais que le bruit du fer , les cris d'alarmes ! L'éclat resplendissant de l'aube sur les armes ! Et ta main ne flattait que... | |
| Edme Ponelle - 1829 - 790 דפים
...que de l'avoir tout ruiné. » La comparaison achève merveilleusement un portrait, une description. Tu grandis sans plaisir , tu tombas sans murmure , Rien d'humain ne battait sous ton épaisse, armure; Sans haine et sans amour tu vivais pour penser. Comme T'aigje , régnant... | |
| 1830 - 482 דפים
...fécondes Avant d'être nommé t'ait bouillonner ses ondes Aux solitudes de Memnon. • *•••• " Tu n'aimais que le bruit du fer, le cri d'alarmes,...resplendissant de l'aube sur les armes : Et ta main ne nattait que ton Idger coursier, Quand les flots ondoyants de sa pâle crinière Sillonnaient comme... | |
| Pierre François Merlet - 1833 - 624 דפים
...s'enivrer. Comme un soldat debout qui veille sous ses armes, Tu vis de la beauté le sourire ou les larmes Sans sourire et sans soupirer. Tu n'aimais...flattait que ton léger coursier, Quand les flots ondoyants de sa pâle crinière Sillonnaient comme un vent la sanglante poussière, Et que ses pieds... | |
| Fleurs - 1834 - 264 דפים
...s'enivrer! Comme un soldat debout qui veille sous ses armes, Tu vis de la beauté le sourire ou les larmes, Sans sourire et sans soupirer ! Tu n'aimais...tu tombas sans murmure : Rien d'humain ne battait sous ton épaisse armure : Sans haine et sans amour, tu vivais pour penser. Comme l'aigle régnant... | |
| Alphonse de Lamartine - 1834 - 400 דפים
...s'enivrer. Comme un soldat debout qui veille sous ses armes, Tu vis de la beauté le sourire ou les larmes, Sans sourire et sans soupirer. Tu n'aimais...sanglante poussière, Et que ses pieds brisaient l'acier. I u grandis sans plaisir, tu tombas sans murmure. Rien d'humain ne battait sous ton épaisse armure... | |
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