Oeuvres de Descartes, כרך 9Levrault, 1825 |
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agitation aisément altesse assez auroit austral avez avoient avois avoit cannelées cause centre d'agitation centre de gravité centre de percussion chose ci-devant Clerselier connoissance connoître considérer contraire corps crois cylindre Dematius Descartes dessein Dieu dire doit écrire également empêcher envoyé esprit essieu étoient étoit eût façon figure fût Groningue homme imprimer j'ai écrit j'avois j'en jamais JÉSUITE jugement jusques l'air l'âme l'autre l'eau l'écliptique l'essieu l'une lettre ligne livre m'en MADAME ÉLISABETH manuscrits de Lahire matière céleste ment Mesland meut MONSIEUR mouvement n'ai n'étoit n'y a rien néanmoins objections opinions pable parceque passions pense perpendiculaire personne persuader pesanteur peuvent philosophie pôle pourcequ'il pourceque pourroit pouvoir PRINCESSE PALATINE Principes puisse quæ raison réponse RÉVÉREND PÈRE Roberval s'il sang savoir Schoock secteur semble seroit seulement sinon soient soleil sorte sujet superficie suppose tâché terre tion touchant tourbillon toutefois triangle trouve tuyau Utrecht vement vérité vitesse vois vortice vrai
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עמוד 166 - Je ne mets autre différence entre l'âme et ses idées, que comme entre un morceau de cire et les diverses figures qu'il peut recevoir; et comme ce n'est pas proprement une action, mais une passion en la cire de recevoir diverses figures , il me semble que c'est aussi une passion en l'ârne de recevoir telle ou telle idée , et qu'il n'ya que ses volontés qui soient des actions...
עמוד 233 - ... avec mesure et discrétion ; car on aurait tort de s'exposer à un grand mal pour procurer seulement un petit bien à ses parents ou à son pays ; et si un homme vaut plus lui seul que tout le reste de sa ville, il n'aurait pas raison de se vouloir perdre pour la sauver.
עמוד 249 - ... font le moins d'état des biens qu'elles possèdent ; il n'ya que les faibles et basses qui s'estiment plus qu'elles ne doivent, et sont comme les petits vaisseaux que trois gouttes d'eau peuvent remplir.
עמוד 131 - je puis dire avec vérité que la principale règle que j'ai toujours observée en mes études, et celle que je crois m'avoir le plus servi pour acquérir quelque connaissance, a été que je n'ai jamais employé que fort peu d'heures par jour aux pensées qui occupent l'imagination, et fort peu d'heures par an à celles qui occupent l'en-tendement seul, et que j'ai donné tout le reste de mon temps au relâche des sens et au repos de l'es-prit...
עמוד 131 - Et enfin, c'est en usant seulement de la vie et des conversations ordinaires, et en s'abstenant de méditer et d'étudier aux- choses qui exercent l'imagination, qu'on apprend à concevoir l'union de l'âme et du corps.
עמוד 124 - Car, y ayant deux choses en l'âme humaine, desquelles dépend toute la connaissance que nous pouvons avoir de sa nature, l'une desquelles est qu'elle pense, l'autre, qu'étant unie au corps, elle peut agir et pâtir avec lui; je n'ai quasi rien dit de cette dernière, et me suis seulement étudié à faire bien entendre la première, à cause que mon principal dessein était de prouver la distinction qui est entre l'âme et le corps; à quoi celle-ci seulement a pu servir, et l'autre y aurait été...
עמוד 425 - ... ainsi que nous, elles auraient une âme immortelle aussi bien que nous; ce qui n'est pas vraisemblable , à cause qu'il n'ya point de raison pour le croire de quelques animaux sans le croire de tous , et qu'il y en a plusieurs trop imparfaits pour pouvoir croire cela d'eux , comme sont les huîtres , les éponges , etc.
עמוד 165 - Dieu ; car mon âme étant finie, je ne puis connoître que l'ordre des causes n'est pas infini, sinon en tant que j'ai en moi cette idée de la première cause; et encore qu'on admette une première cause qui me conserve , je ne puis dire qu'elle soit Dieu, si je n'ai véritablement l'idée de Dieu...
עמוד 212 - La première est, qu'il tâche toujours de se servir, le mieux qu'il lui est possible, de son esprit, pour connaître ce qu'il doit faire ou ne pas faire en toutes les occurrences de la vie.
עמוד 232 - Etat, de cette société, de cette famille, à laquelle on est joint par sa demeure, par son serment, par sa naissance. Et il faut toujours préférer les intérêts du tout, dont on est partie, à ceux de sa personne en particulier...