...orageux océan du monde , dont je ne connoissois ni les ports, ni les écueils. Je visitai d'abord les peuples qui ne sont plus; je m'en allai, m'asseyant...de forte et d'ingénieuse mémoire, où les palais des rois sont ensevelis dans la poudre , et leurs mausolées cachés sous les ronces. O force de la...

...monde , dont Tome IL M •ï. jo ne connoissois ni les ports , ni les ëcuéils. Je visitai d'abord les peuples, qui ne sont plus ; je m'en allai , m'asseyant sur les débris de Pxome et de la Grèce ; pays de forte et d'ingénieuse mémoire, où les palais des rois sont ensevelis...

...orageux océan du monde , dont je ne connoissois ni les ports , ni les écueils. Je visitai d'abord les peuples qui ne sont plus : je m'en allai m'asseyant...Force de la nature , et foiblesse de l'homme : un brin d'herbe perce souvent le marbre le plus dur de ces tombeaux , que tous ces morts , si puissans , ne...

...orageux océan du inonde, dont je ne connoissois ni les ports, ni Ips écueils. Je visitai d'abord les peuples qui ne sont plus : je m'en allai m'asseyant...Force de la nature, et foiblesse de l'homme : un brin d'herbe perce souvent le marbre le plus dur de ces tombeaux, que tous ces morts, si puissans, ne soulèveront...

...orageux océan du monde , dont je ne connoissois ni les ports , ni les écueils. Je visitai d'abord les peuples qui ne sont plus : je m'en allai m'asseyant...Force de la nature , et foiblesse de l'homme ! un brin d'herbe perce souvent le marbre le plus dur de ces tombeaux , que tous ces morts , si puissants , ne...

...orageux océan du monde , dont je ne connoissois ni les ports , ni les écueils. Je visitai d'abord les peuples qui ne sont plus : je m'en allai m'asseyant...rois cachés sous les ronces. Force de la nature , et fbiblesse de l'homme ! un brin d'herbe perce souvent le marbre le plus dur de ces tombeaux , que tous...

...orageux océan du monde, dont je ne connoissois ni les ports, ni les écueils. Je visitai d'abord les peuples qui ne sont plus : je m'en allai m'asseyant...Force de la nature, et foiblesse de l'homme ! un brin d'herbe perce souvent le marbre le plus dur de ces tombeaux, que tous ces morts, si puissans, ne soulèveront...

...silence, prùlunt l'oreille au sourd mugissement de l'automne... » Voici la poésie des ruines. « Je m'en allai m'asseyant sur les débris de Rome et de la Grèce... Souvent j'ai cru voir le fiénie des souvenirs assis tout pensif à mes côtés. » La poésie du christianisme,...

...orageux océan du monde , dont je ne connoissois ni les ports ni les écueils. Je visitai d'abord Ses peuples qui ne sont plus : je m'en allai m'asseyant...d'ingénieuse mémoire, où les palais sont ensevelis sous la poudre et les mausolées des rois cachés sous les ronces. Force de la nature , et foiblesse...

...orageux océan du monde , dont je ne connoissois ni les ports , ni les écueils. Je visitai d'abord les peuples qui ne sont plus : je m'en allai , m'asseyant...Force de la nature, et foiblesse de l'homme ! un brin d'herbe per.ce souvent le marbre le plus dur de ces tombeaux , que tous ces morts , si puissants ,...