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Ztchi se prend pour tchi, parvenir à, jusqu'à : 1Z 5 麻 (Chi-king, Yong-fong, citation de Khanghi). 3Chi je jure (que), 1tchi jusqu'à, 2sse mourir (la mort), 4feï je n'aurai pas, tha autre (d'autre époux), littéralement jusqu'à, mourir, jurer, ne pas avoir, autre.

4° Tehi répond quelquefois au nominatif du pronom démonstratif, dont la forme habituelle est thseu, ille, illa, illud. Ztchi ces (nobles), tseu filles, 3yu vont, *koueï (pour) se marier (Chi-king, ode Thao-yao).

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5o Tehis'emploie comme pronom de la troisième personne et, suivant les mots avec qui il est combiné, répond à ejus, à illi, à illum, illam, illud, illos, illas, illa.

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Tchi, ejus. Exemple: ''tsin j'envahirai, yu (marque d'accusatif), kiang les frontières, 3tchi de lui. Sur yu F ou yu, marques d'accusatif, voyez, à la fin de mon Mencius, le petit Mémoire intitulé Breris Tractatus, etc., page 80, § VIII.

Tehiilli. Meng-tseu, chap. Wan-tchang: les princes feu1 242 dataires peuvent présenter un homme à l'empereur.

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3sse faire (que),

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pou-neng ils ne peuvent,

thien-tseu le fils du ciel (l'empereur), "yu donne, tehi à lui (illi), tchou-heou la dignité de regulus.

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Tchi illum.' 'men-jin ses disciples (littéralement les hommes de son école), sheou libéralement (avec luxe), 'thsang enterrèrent, 3tchi lui (illum).

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TR ZB pou pas, cheou donner, 3tchi eux

(c'est-à-dire ces aliments), cha tuer, 3tchi eux (ceux qui), ne lui donnaient pas (ces vivres), il tuait eux, il les tuait (occidebat illos).

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6otchi s'emploie comme particule expletive ou déterminative, après le sujet d'un verbe, et n'ajoute rien au sens. 其 1khi de lui, tuo la doctrine, 3tchi particule explétive ou déterminative du sujet, pou pas, yong est-employée, c'est-à-dire sa doctrine n'est pas employée, suivie, mise en pratique.

Ici, le mot 'yong (vulgo employer) devient passif par position.

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'FZ # thien ciel, 2tchi particule

relative, 3khi abandonner, chang Chang, kieou il y a longtemps, i particule finale.

Le mot 5kieou, il y a longtemps, montre que le mot 3khi, abandonner, est ici au prétérit indéfini; c'est-à-dire : il y a longtemps que le ciel a abandonné la dynastie des Chang.

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1hoeï nom d'homme, "tchi particule explétive ou déterminative, 3weï était, Ajin un homme (tel que nous allons le dépeindre).

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7° Tchi est sans signification après un verbe neutre qui se trouve à la fin d'une phrase. 11wei seulement, chou le millet, seng naît, croît (chez les barbares du nord, c'est-à-dire ils ne cultivent ou ne récoltent que du millet"), 4tchi particule déterminative, indiquant que le verbe précédent est neutre.

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1pi-2fou (si) une femme du peuple, 3thsan

élève des vers à soie, 4tchi particule déterminative du verbe

neutre.

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5 miao les- tiges-naissantes - desgrains (qui étaient desséchées), 2po-3jen aussitôt, subitement, thing se lèvent (se relèvent), 5tchi particule déterminative.

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1 [ 2 ★ # # 'Z 1pi-2fou (si) un homme du peuple, 3keng

laboure, tchi particule déterminative.

8°tchi après un adjectif qui se trouve à la fin d'une phrase, montre que cet adjectif est devenu par position un verbe actif, et alors tchiŹ répond, comme régime de ce verbe, à illum, illam, illud, illos, illas, illa (accusatif pluriel neutre de ille). On lit dans Meng-tseu, chap. I, 2o partie, § 9: Quand le roi veut construire une grande maison, il ordonne nécessairement à un maître - charpentier de chercher de grands arbres. Quand le maître des ouvriers a trouvé de grands arbres, le roi se réjouit ; il pense qu'ils pourront remplir leur office (répondre à leur destination). 1tsiang-jin (si) les

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ouvriers, 3tcho les taillent-avec-la-doloire, eul et, 3siao rapetissent, 5tchi eux (les rapetissent).

Le mot 'siao est l'adjectif petit, mais, par sa position, il devient le verbe actif faire-petit, rapetisser, et c'est précisément le 5tchi final (illas arbores) qui lui donne cette valeur.

Autre exemple de Meng-tseu, chap. I, part. II: „Ce courage, dit-il au roi, c'est celui d'un homme vulgaire qui résiste à (qui

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ne peut résister qu'à) un seul homme. “'13 3λ ż 1wang ô roi, thsing je vous prie-de, sta agrandir, tchi lui (d'agrandir ce courage).

Ici sta, qui est ordinairement l'adjectif grand, magnus, a, um, devient, par sa position, le verbe actif faire-grand, agrandir, et c'est le 4tchi final, devenu régime direct de ce verbe (magnamfac illam fortitudinem) qui lui donne cette valeur.

9o Nous venons de voir que tchi, placé après un adjectif qui se trouve vers la fin d'une phrase, peut lui donner la force et la valeur d'un verbe actif. Dans les exemples suivants, le signe tchi, placé de même après un substantif qui se trouve dans la dernière partie d'un membre de phrase, lui donne la force et la valeur d'un verbe actif. Voici par exemple le mot ho 1 (vulgo richesses) qui, dans le même passage, reprend son sens habituel, après avoir été plus haut, en vertu de la position que nous venons d'indiquer, le verbe actif: gagner-quelqu'un-par

6日 7化 8

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les-richesses, par l'or, par l'argent. 13 ́ ˆ† Ż 而餽之 61. 7 14 $ 1 wou-2tch'ou lorsqu'on ne s'appuie pas (tch'ou) A sur une bonne raison (en mandchou: tourgoun ako, sans cause), seul cependant, koueï faire-des-présents, 3tchi à lui (lui faire des présents), chi c'est, 'ho (vouloir) gagner-par-des-présents, tchi lui (le gagner, etc). Meng-tseu, chap. II, partie II.

Un étudiant qui ignorerait le principe exposé ci-dessus, ne verrait dans 'ho que le sens de richesses; il ne saurait que faire de stchi, et se trouverait dans l'impossibilité de saisir l'idée de l'auteur.

Meng-tseu continue et rend à ho

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son sens primitif. 'E “有©君‘子 ‘而“可以貨取 "之"乎 'yen

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comment, yeou y aurait-il, kiun-tseu un sage, eul et, kho-11hou pourrait-on (hou particule finale interrogative), 'thsiu prendre,

capter, 10 tchi lui, i par, ho des richesses, de l'or? c'est-à-dire : Comment y aurait-il un sage que l'on pourrait gagner par de l'or? (La glose rend ho par kin de l'or.)

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Dans l'exemple suivant, le mot tch'in ministre, emprunte au signe tchi, comme plus haut le mot ho richesses, le rôle de verbe actif. Ehio il étudia (sous sa direction), 2eul et, 3heou ensuite, *tch' in fit-ministre, 3tchi lui (le fit ministre). **** ́1. kou c'est pourquoi,

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'pou pas, lao travailler, se donner de la peine, eul et, 10wang devenir-roi. (C'est pourquoi il n'eut pas de peine à devenir roi.) Meng-tseu, chap. II, 2o partie.

Le mot khi vase, capacité (au propre et au figuré) devient le verbe, employer-quelqu'un-suivant-sa-capacité“ (J. Legge : to use according to capacity), lorsqu'il se trouve vers la fin d'un membre de phrase et est suivi de tchi qui répond alors à illum, comme régime direct de ce verbe. # tki quand, 2khi lui (il), 3sse emploie, jin un homme, ye particule finale, "khi il-emploie-suivant-sa-capacité, *tchi (lui), il l'emploie, etc. (Lun-yu, chap. Tseu-lou, § 25.)

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La glose chinoise explique clairement le rôle de khi : I1 l'emploie comme on emploie des vases dont chacun est propre à l'usage particulier auquel il est destiné.

Le mot teh'in oreiller, devient devant tchi, mais en changeant d'accent (tch'in), le verbe actif faire-oreiller, par exemple faire de son bras un oreiller.子 ©日 ©飯 疏

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゚食 ̊飮©水 ̊曲肱 "而"枕 "之"樂“亦“在

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16" 1tseu Confucius, youe dit :

“其”中“矣。

je mange, 5sse du riz, sou grossier, in (et) boive,

fan (quoique)

chouï de l'eau,

8khio (quoique) je plie, keng mon bras, "eul et, 10tch'in fasseoreiller, 12tchi lui (le bras), (quoique je me serve de mon bras comme d'un oreiller), 18lo la joie, 11i aussi, 15tsaï réside, 1tchong au milieu, 1okhi de cela, en cela (c'est-à-dire : j'y trouve aussi ma joie, mon contentement).

Le mot ti est un substantif signifiant un barbare (du nord). Si l'on placetchi après ti, ce mot deviendra un

verbe actif dont tchi sera le régime direct. Si nous était permis de forger le verbe barbariser, nous rendrions parfaitement les mots ti-tchi (il l'a traité de barbare), par il le

barbarisa.

Kao qui est le substantif menottes, devient par l'adjonetion detehi le verbe actif mettre-des-menottes à quelqu'un, le mot tchi (illum), étant le régime direct de ce verbe.

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#tchi il le prit, eul et, 3kao mit des menottes, 1tchi à lui. Le vrai moyen de rendre la force et le rôle de 3kao, suivi de tchi

serait de dire menotta lui (le menotta),

s'il était permis de dire menotter quelqu'un.

Voici une expression plus curieuse, c'est le mot dissyllabique fou-jin princesse, qui, suivi de devient le mot faire princesse une femme, la traiter de princesse, comme si l'on disait

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la princessifier. 我“可以 不 “夫 "人"之"乎

Ingo nous, kho-i pouvoir, pou pas, fou-jin faire-princesse, tchi elle, shou particule interrogative. Pourrions-nous ne pas lui donner le titre de Princesse?

C'est encore par suite de la position décrite ci-dessus, qu'on voit le mot i (un), suivi de tchi, jouer le rôle d'un verbe

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actif: réduire-en-un tout, unifier. 'Ħ ̊F 'Œ ' ‡ ° Ë (le roi), 1youe dit: 2thien-3hia l'empire, ou-hou comment, ting

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sera-t-il pacifié ? — ®¶ °□1Ê ̈1‡ Ingou moi

(dit Meng-tseu), touï répondant, youe je (lui) ai dit : 1oting il sera pacifié, "yu par, 12i l'unité, l'unification, la réunion de toutes les parties de l'empire en un tout.

(Le roi) dit:“孰“能

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1613cho qui-est-ce qui, 14neng peut (pourra), 15; unifier, 16tchi lui (l'unifier, le-faire-un. En mandchou: emou oboume)? Qui pourra réunir toutes les parties de l'empire sous le gouvernement d'un seul ?

Meng-tseu répondit: celui qui n'aimera pas à tuer les hommes. Le signe tehi (illud) nous montre que i —, signe de l'unité, est devenu par position un verbe actif qu'on écrirait unifier, si c'était permis.

Le mot sse

est le verbe neutre mourir. S'il se trouve vers

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