...l'abandonner entièrement. Je rendrai peut-être compte plus tard des différences que deux systêmes de théâtre tout -à -fait opposés ont dû nécessairement...sans quelque crainte en entrant le premier dans une route nouvelle; j'avais besoin de m'appuyer sur la force d'un autre; je ne me suis pas senti, je l'avoue,...

...leur premier auteur les applaudissements qu'elle reçoit , et les larmes qu'elle fait couler. iC'est avec une sorte de défiance que j'offre au public...sans quelque crainte en entrant le premier dans une route nouvelle; j'avais besoin de m'appuyer sur la force d'un autre; je ne me suis pas senti, je l'avoue,...

...semblera plus particulièrement à moi. - . . . • , Quel que soit le jugement que l'on porte decette pièce, peut-être me saura-t-on gré d'avoir essayé...sans quelque crainte en entrant le premier dans une route nouvelle ; j'avais besoin de m'appuyer sur la force d'un autre; je ne me suis pas senti, je l'avoue,...

...français m'ont reproché une imitation trop suivie de la pièce allemande ; les critiques étrangèrs trouveront peut-être que je ne l'ai point assez imitée...sans quelque crainte en entrant le premier dans une route nouvelle ; j'avais besoin de m'appuyer sur la force d'un autre; je ne me suis pas senti, je l'avoue,...

...ultra-classiques, que Lebrun dut se mettre en garde contre l'accueil qui attendait son œuvre : « Quel que soit le jugement que l'on porte de cette...sans quelque crainte en entrant le premier dans une route nouvelle ; j'avais besoin de m'appuyer sur la force d'un autre; je ne me suis pas senti, je l'avoue,...

...rapprochement » entre la Melpomène étrangère et la nôtre », d'avoir introduit sur la scène française, sans blesser la sévérité de notre goût et de nos...des couleurs » qui manquaient à notre littérature théâtrale. Il détendit, en effet, doucement et sans violence, les vieux ressorts classiques ; il...

...nôtre », d'avoir introduit sur la scène française, sans blesser la sévérité de notre goiU cl de nos règles, « des formes et des couleurs » qui manquaient à notre littérature théâtrale. Il détendit, en effet, doucement et sans violence, les vieux ressorts classiques; il...

...rapprochement « entre la Melpomcne étrangère et la nôtre », d'avoir introduit sur la scène française, sans blesser la sévérité de notre goût et de nos...des couleurs « qui manquaient à notre littérature théâtrale. Il détendit, en effet, doucement et sans violence, les vieux ressorts classiques; il...

...allemande; les critiques étrangers trouveront peut-être que je ne l'ai point assez imitée... Quelque soit le jugement que l'on porte de cette pièce, peut-être...que je crois indispensables à la tragédie moderne. P. LEBRUN, Marie Stuart, préface. Ce n'était point par fantaisie, par frivole intérêt, et pour...

...théâtre allemand, sans rompre toutefois avec les traditions classiques : On me saura gré, dit-il, d'avoir opéré l'alliance de deux muses qui semblaient...que je crois indispensables à la tragédie moderne. Au reste, nous savons que la pièce de Lebrun se rattache directement au livre de l'Allemagne. Déjà...