Histoires de la vie privée d'autrefois

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D. Giraud, 1853 - 243 עמודים
 

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עמוד 207 - TIRÉE DE L'ÉCRITURE SAINTE , Couronnée par l'Académie française en 1 784. A SAS MONSEIGNEUR LE DUC DE PENTHIEVRE. l-'E plus saint des devoirs, celui qu'en traits de flamme La nature a gravé dans le fond de notre âme , C'est de chérir l'objet qui nous donna le jour. Qu'il est doux à remplir ce précepte d'amour ! Voyez ce faible enfant que le trépas menace...
עמוד 126 - Les raisins sont énormes et excellents ; ils croissent depuis le bord du lac jusqu'au sommet du mont Jura; en sorte que d'un même coup d'œil je vois des vendangeurs les pieds dans l'eau, et d'autres juchés sur des rochers à perte de vue. C'est une belle chose que le lac de Genève. Il semble que l'Océan ait voulu donner à la Suisse son portrait en miniature.
עמוד 152 - Et du troubadour. A la brusquembille Tu jouas jadis Mule, bride, étrille, Et tu les perdis. La grise bastille Aux gris tiercelets Troua ta mantille De trente boulets. Le reître qui pille Nippes au bahut, Nonnes sous leur grille, Te cassa ton luth.
עמוד 126 - Me voici dans le charmant pays de Vaud; je suis au bord du lac de Genève, bordé d'un côté par les montagnes du Valais et de Savoie, et de l'autre par de superbes vignobles, dont on fait à cette heure la vendange. Les raisins sont énormes et excellents ; ils croissent depuis le bord du lac jusqu'au sommet du mont Jura; en sorte que d'un même coup d'œil je vois des vendangeurs les pieds dans l'eau, et d'autres juchés sur des rochers à perte de vue.
עמוד 15 - ... que toutes les branches et les troncs des arbres se convertissent en fusées ; que toutes les étoiles du ciel tombassent, et que la sphère du feu voulût prendre la place de la moyenne région de l'air. Ce sont, Monseigneur, trois hyperboles, lesquelles appréciées et réduites à la juste valeur des choses, valent trois douzaines de fusées.
עמוד 12 - Paulet et M. de Chaudebonne et moi partîmes de Paris, sur les six heures du soir, 15 pour aller à la Barre, où Mme du Vigean devoit donner la collation à Mme la princesse. Nous ne trouvâmes en chemin aucune chose digne d'être remarquée, si ce n'est qu'à Ormesson nous vîmes un grand chien qui vint à la portière du carrosse me 20 faire fête, ce dont je fus fort joyeux.
עמוד 10 - Et ne lui souvint plus quelle était sa maison. Mes pleurs n'ont pu depuis fléchir cette infidèle, A quitter un séjour qu'elle trouva si doux; Et je suis en langueur, sans repos et sans elle, Et sans moi-même aussi, lorsque je suis sans vous. Elle ne peut laisser ce lieu tant désirable Ce beau temple où l'amour est de nous adoré : Pour entrer derechef en l'enfer misérable Où le ciel a voulu qu'elle ait tant enduré.
עמוד 135 - — « Monsieur, puisque vous ne voulez rien dire, je vais hasarder d'acquitter en partie ce que je vous dois. » A l'instant, le pauvre homme va à son bureau, et revient la main pleine d'argent, me disant : « Monsieur, c'est en tâtonnant que je cherche à satisfaire ma dette », et, en même temps, il me remet trente-six francs.
עמוד 136 - Monsieur, lui dis-je, souffrez que je vous représente que c'est trop pour un ouvrage de cinq heures au plus, fait en aussi bonne compagnie que la vôtre ; permettez que je vous en remette les deux tiers, et qu'en échange je donne à Madame votre portrait en pur don. Le pauvre homme et la pauvre femme tombèrent des nues. J'ai ajouté beaucoup de choses honnêtes ; et je m'en suis allé, emportant leurs bénédictions, et leurs douze livres que je leur rendrai à mon départ.
עמוד 15 - Le bal con- 25 tinuait avec beaucoup de plaisir quand tout à coup un grand bruit que l'on entendit dehors obligea toutes les dames à mettre la tête à la fenêtre: et l'on vit sortir du grand bois qui...

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