Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique dans ses rapports avec l'élévation morale et religieuse des peuplesDidot, 1859 - 614 עמודים |
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עמוד 510 - Apollon , à portes ouvertes, Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir; Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes ; Et trois ou quatre seulement , Au nombre desquels on me range » Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.
עמוד 573 - C'est que l'amour, la tombe, et la gloire, et la vie, L'onde qui fuit, par l'onde incessamment suivie, Tout souffle, tout rayon, ou propice ou fatal, Fait reluire et vibrer mon âme de cristal, Mon âme aux mille voix, que le Dieu que j'adore Mit au centre de tout comme un écho sonore.
עמוד 575 - L'aurore donne la rosée. Venez, enfants! — A vous jardins, cours, escaliers! Ébranlez et planchers, et plafonds, et piliers ! Que le jour s'achève ou renaisse, Courez et bourdonnez comme l'abeille aux champs! Ma joie et mon bonheur et mon âme et mes chants Iront où vous irez, jeunesse!
עמוד 507 - Et son teint au vostre pareil. Las! voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place, Las! las! ses beautez laissé cheoir! O vrayment marastre Nature, Puis qu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que vostre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez vostre jeunesse : Comme à ceste fleur, la vieillesse Fera ternir vostre beauté.
עמוד 575 - Dût la gloire ingrate et frivole, Dussent mes vers, troublés de ces ris familiers, S'enfuir, comme devant un essaim d'écoliers Une troupe d'oiseaux s'envole ! Mais non. Au milieu d'eux rien ne s'évanouit. L'orientale d'or plus riche épanouit Ses fleurs peintes et ciselées; La ballade est plus fraîche, et dans le ciel grondant L'ode ne pousse pas d'un souffle moins ardent Le groupe des strophes ailées I Je les vois reverdir dans les jeux éclatants, Mes hymnes parfumés comme un chant de printemp's.
עמוד 507 - Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au soleil A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vostre pareil.
עמוד 20 - Leurs années se poussent successivement comme des flots; ils ne cessent de s'écouler; tant qu'enfin, après avoir fait un peu plus de bruit, et traversé un peu plus de pays les uns que les autres , ils vont tous ensemble se confondre dans un abîme où l'on ne...
עמוד 17 - CharlesGustave parut à la Pologne surprise et trahie comme un lion qui tient sa proie dans ses ongles, tout prêt à la mettre en pièces. Qu'est devenue cette redoutable cavalerie qu'on voit fondre sur l'ennemi avec la vitesse d'un aigle? Où sont ces âmes guerrières, ces marteaux d'armes tant vantés, et ces arcs qu'on ne vit jamais tendus en vain? Ni les chevaux ne sont vites, ni les hommes ne sont adroits, que pour fuir devant le vainqueur.
עמוד 509 - Que direz-vous, races futures, Si quelquefois un vrai discours Vous récite les aventures De nos abominables jours? Lirez-vous, sans rougir de honte, Que notre impiété surmonte Les faits les plus audacieux, Et les plus dignes du tonnerre, Qui firent jamais à la terre Sentir la colère des cieux?
עמוד 430 - Cependant je resterai à mon poste dans l'église; je « placerai devant moi les vases sacrés ; j'embrasserai les 1 Synes, cpiscop. Oper. p- 302. « colonnes du sanctuaire qui soutiennent la table sainte; « j'y resterai vivant, j'y tomberai mort. Je suis ministre « de Dieu; et peut-être faut-il que je lui fasse l'oblation « de ma vie. Dieu jettera quelque regard favorable sur « l'autel arrosé par le sang du pontife.