'† ' f ' Ê ★ thien le ciel, tsiang-weï fera, 3i-4fou- tseu le maître, mo-to une (sorte de) clochette appelée Mo-to. Le traducteur mandchou a rendu weï (faire) au prétérit indéfini: abka cœlum, aintchi forte, fou-tse-be magistrum (Confucium), tchinggilakó campanulam, oboukha fecit.
On pourrait cependant considérer ici si comme une marque de l'instrumental et dire thien le ciel, 3i avec, de, fou-tse Confu-
mo-to une cloche appelée Mo-to, c'est-à-
dire se servira de lui pour instruire le peuple.
Mo-to était une clochette avec un battant de bois, dont on se
servait pour rassembler le peuple afin de l'instruire et de l'exhor- ter à la vertu.
已下 i-hin, synonyme de 以下 i-hin, an bas. 智己 Thiong-i-hia, au bas de la poitrine. Si-yu-ki, liv. I, fol. 17.
i-chin, synonyme de thai-kono, excessive-
'ƒ3а"*" 380-41-9tche ce en quoi, 1jin l'homme, 禽獸 ̊者"幾"希
5i diffère, yu de (des), 'k'in-tcheou animaux, 1oki.11hi (est) peu
de chose. Meng-tseu, chap. 4, part. II, § 19.
femmes et les concubines, 1khi de ces (hommes), 14tche lesquelles, *pou-sieou ne seraient pas honteuses, ye particule finale, eul et (qui), pou-1khi ne pleureraient pas, siang ensemble, 12ki-13hi (sont) peu nombreuses, 14; particule finale. En français : il y a bien peu de leurs femmes et de leurs concubines qui ne rougi-
yong-feï, n'est-ce pas ? ' *‡ 1yong-
2feï-3eul-1hou n'est-ce pas avoir fait défection? thou particule qui exprime le doute.
heon, après. Ce mot est adjectif devant un substantif : heou-chi, les siècles suivants.
heou signifiant après, se met à la fin d'un membre de
phrase, ou après un mot, avec ou sans Ztchi, marque du
Axjin-san-heou, mot à mot: hommes, être disper-
sés, après, c'est-à-dire : après que les hommes se furent séparés. En mandchou: niyalma faktchaka amala.
étaient, fung la principauté, 'tchi de 5 Wou-keng (nom d'homme),
le domaine accordé par l'empereur à Wou-keng.
()te-tch'ing, obtenir la paix.
(†) khieou-tch ́ing), demander la paix.
thsing-tch'ing, même sens que khieou-tch'ing.
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