Le sentiment de la nature ..., כרך 3Didier et ce, 1870 |
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עמוד 136 - Un jour, sur ses longs pieds , allait , je ne sais où , Le héron au long bec emmanché d'un long cou.
עמוד 130 - Enfin on voit au-dessous de ces pâturages le pied de la montagne qui est comme un jardin : le printemps et l'automne y régnent ensemble pour y joindre les fleurs et les fruits. Jamais ni le souffle empesté du midi, qui sèche et qui brûle tout, ni le rigoureux aquilon, n'ont osé effacer les vives couleurs qui ornent ce jardin.
עמוד 383 - Protée; il était dur de ne voir que les aventures des tritons et des néréides dans cette immensité des mers, qui semble nous donner une mesure confuse de la grandeur de notre âme ; dans cette immensité qui fait naître en nous un vague désir de quitter la vie pour embrasser la nature et nous confondre avec son auteur.
עמוד 393 - ... l'impression que fit sur moi le chant de guerre des Franks eut quelque chose d'électrique. Je quittai la place où j'étais assis, et, marchant d'un bout à l'autre de la salle, je répétai à haute voix et en faisant sonner mes pas sur le pavé : « Pharamond! Pharamond! nous avons combattu avec
עמוד 129 - Liban , dont le sommet fend les nues et va toucher les astres ; une glace éternelle couvre son front; des fleuves pleins de neige tombent, comme des torrens , des pointes des rochers qui environnent sa tête.
עמוד 368 - Génie du Christianisme, mes sentiments religieux s'harmonisaient avec la scène; mais, hélas ! quand j'y assistai en personne, le vieil homme était vivant en moi, ce n'était pas Dieu seul que je contemplais sur les flots dans la magnificence de ses œuvres. Je voyais une femme inconnue et les miracles de son sourire; les beautés du ciel me semblaient écloses de son souffle; j'aurais vendu l'éternité pour une de ses caresses.
עמוד 382 - Oh! que le poète chrétien est plus favorisé dans la solitude où Dieu se promène avec lui! Libres de ce troupeau de dieux ridicules qui les bornaient de toutes parts , les bois se sont remplis d'une Divinité immense. Le don de prophétie et de sagesse, le mystère et la religion, semblent résider éternellement dans leurs profondeurs sacrées. Pénétrez dans ces forêts américaines aussi vieilles que le monde...
עמוד 383 - Il ya dans l'homme un instinct qui le met en rapport avec les scènes de la nature. Eh ! qui n'a passé des heures entières assis, sur le rivage d'un fleuve, à voir s'écouler les ondes ! Qui ne s'est plu, au bord de la mer, à regarder blanchir récueil éloigné!
עמוד 373 - ... du climat, les assauts des bêtes et le manque de vivres. Cet homme illustre me disait : « Si j'étais plus jeune, je partirais avec vous, je m'épargnerais le spectacle que m'offrent ici tant de crimes, de lâchetés et de folies.
עמוד 130 - ... des rochers qui environnent sa tête. Au-dessous, on voit une vaste forêt de cèdres antiques, qui paraissent aussi vieux que la terre où ils sont plantés, et qui portent leurs branches épaisses jusque vers les nues. Cette forêt a sous ses pieds de gras pâturages, dans la pente de la montagne. C'est là qu'on voit errer les taureaux...