Collection complete des mémoires relatifs à l'histoire de France depuis le règne de Philippe Auguste: jusqu'au commencement du dix-septièrne siècle avec des notices sur chaque auteur et des observations sur chaques ouvrage. [1e série.], כרך 8 |
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Ambroise de Lore Anglois aprés avoient bailla bastard d'Orleans bataille boulevart Bourguignons Bretaigne c'estoit capitaines celuy ceulx Charles VII chasteau cheval Chinon chose compagnée comte de Richemont costé d'Illiers Denis Godefroy devers le Roy devoit dict lieu dict seigneur Dieu disoit duc d'Alençon duc de Bedford duc de Bourgogne Dunois envoya estat estoient estoit estre étoient étoit faict faisoit falloit feit firent fist François fust gens d'armes gens de guerre gneur Guillaume Gruel Guyenne habitans Hire Jean Jean Chartier Jeanne d'Arc Jeanne la Pucelle Jehan jour jusques l'an ladite Laigny ledit lesdits loger luy dist maniere mareschal mesme messire mettre le siege monsei monseigneur le connestable n'avoit nommé nuict ordonna Orleans Partenay pource pouvoit prins Pucelle riviere Rostrenen royaume s'en allerent s'en vint s'étoit sçavoir sceut seigneur le connestable seroit sire Talbot Tanneguy Du Chastel tenoit tost apres tousjours toutesfois traict Trimoüille troupes venoient veoir vinrent vouloit
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עמוד 294 - Croyez-vous que votre roi a bien fait de tuer ou faire tuer monseigneur de Bourgogne ? — Ce fut grand dommage pour le royaume de France. Mais, quelque chose qu'il y eût entre eux, Dieu m'a envoyée au secours du roi de France '. 231 — Jehanne, savez-vous par révélation si vous échapperez ? — Cela ne touche point votre procès.
עמוד 249 - France, et il n'ya pour lui de secours que moi-même, quoique j'aimasse mieux rester à filer près de ma pauvre mère; car ce n'est pas là mon ouvrage; mais il faut que j'aille et que je le fasse, parce que mon Seigneur le veut. — Et quel est votre Seigneur? — C'est Dieu ! ..." Le gentilhomme fut touché. Il lui promit "par sa foi, la main dans la sienne, que sous la conduite de Dieu, il la mènerait au roi.
עמוד 301 - Par ma foi, sire, reprit-elle, révérence gardée, je « vous ose bien dire et jurer, sur peine de ma vie, « que c'est le plus noble chrétien de tous les chrétiens, « et qui aime la foi et l'Eglise, et n'est point tel que
עמוד 225 - Vous les prestres et gens d'église, faites procession et prières à Dieu. Et lors se retourna à son chemin, en disant : Tirez avant, tirez avant! Son estendart ployé que portoit un gracieux page, et avoit sa hache petite en la main...
עמוד 226 - La Pucelle m'a dit en son logis, comme je la suis allé y voir^ que trois jours avant mon arrivée , elle avoit envoyé à vous , mon ayeule, un bien petit anneau d'or, mais que c'estoit bien petite chose, et qu'elle vous eust volontiers envoyé mieux, considéré voslre recommandation.
עמוד 90 - Mascón, lesquels assemblèrent gens le plus diligemment qu'ils peurent, et se mirent sur les champs, en intention de rencontrer lesdits de Rochebaron et...
עמוד 109 - Saincte-Susanne estant ainsi eue par iceluy comte de Salisbery, il alla mettre le siège devant le chasteau de Mayenne-la-Juhais , et y fit mener plusieurs grosses bombardes, comme devant les autres places. Un vaillant chevalier nommé Pierre Le...
עמוד 527 - escarmouche, et bien petit à manger : car il n'avoit que des oignons, et du pourpier, et bien petit de pain, et de vin. Toutesfois luy veint le lendemain une pipe de vin , qui luy cousta bon pris, et luy dura plus que jamais vin ne luy avoit duré.
עמוד 157 - On luy demanda si elle l'avoit oncques veue, et elle dit que non; mais qu'elle sçavoit bien qu'elle y estoit. Elle y envoya donc; et n'y avoit personne qui sceust où elle estoit, ny ce que c'estoit. Toutesfois il y en avoit plusieurs qu'on avoit autresfois données à...
עמוד 550 - Puis le lendemain , premier jour de may, vint au siege, et bien tost luy vinrent les nouvelles que monseigneur Gilles son nepveu estoit mort , dont il fut bien courroucé ; puis le duc le luy dist, et eurent grandes paroles ensemble : toutesfois la chose se dissimula pour l'heure , de peur de plus grand scandale. Puis fut assise l'artillerie, tant bombardes que engins volans , et autre artillerie ; et fut fort batuë la dicte ville d' Avranches, tant qu'elle estoit.