Oeuvres complètes, כרך 691792 |
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accufation affez affure ainfi auffi auteur Bernard de Fontenelle bonnêteté c'eft c'eſt calomnies cardinal caufe cent chaffé chofe chrétiens compofé confeil confervé Desfontaines DIEU difait dire écrit écrivit efprit enfuite eſt expreffions fage faint fang fatire favait favans favoir feconde fecrètes fefait femble fentiment ferait Ferney fervice fervir feul fiècle fieur figner fingulière fociété foit font fous fouvent françaiſe ftyle fuis fujet fur-tout gens de lettres goût Henriade homme imprimer j'ai jamais jéfuites JESUS jufqu'à jufte juftice Juifs l'abbé l'auteur l'efprit l'Eglife l'hiftoire laiffer libelle livre long-temps Louis XIV madame madame Denis madame du Châtelet mauvaiſe meffieurs Mélanges littér ment méprife miférable mille miniftre Monfieur n'eft Newton Nonotte ouvrage paffer parle penfer perfécuté perfonne philofophie pièce Pierre Corneille plaifir plufieurs poëte préfent prefque prince Pruffe raifon refpect refte religion Rouffeau s'eft Spinofa Voltaire دو دو دو رو وو
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עמוד 327 - Mon Henri Quatre et ma Zaïre, Et mon Américaine Alzire, Ne m'ont valu jamais un seul regard du roi ; J'avais mille ennemis avec très peu de gloire: Les honneurs et les biens pleuvent enfin sur moi, Pour une farce de la Foire.
עמוד 330 - ... charger. On le pria de n'en rien faire. Après cela, pour vous dire le mal comme le bien, j'ai remarqué une habitude, trop tôt acquise, de voir tranquillement sur le champ de bataille des morts nus, des ennemis agonisants, des plaies fumantes.
עמוד 110 - Voulez-vous sur la scène étaler des ouvrages Où tout Paris en foule apporte ses suffrages , Et qui, toujours plus beaux plus ils sont regardés, Soient au bout de vingt ans encor redemandés?
עמוד 98 - Ce pain, cet aliment dans mon corps digéré, Se transforme en un lait doucement préparé ? Comment, toujours filtré dans ses routes certaines, En longs ruisseaux de pourpre il court enfler mes veines, A mon corps languissant rend un pouvoir nouveau. Fait palpiter mon cœur, et penser mon cerveau ? Il lève au ciel les yeux, il s'incline, il s'écrie : « Demandez-le à ce Dieu qui nous donna la vie.
עמוד 373 - J'accourcis le temps arrêté Que la nature notre mère A mes jours remplis de misère A daigné prodiguer par libéralité. D'un cœur assuré, d'un œil ferme, Je m'approche de l'heureux terme Qui va me garantir contre les coups du sort, Sans timidité, sans effort.
עמוד 331 - J'ai été avant-hier voir la tranchée en mon petit particulier; cela n'est pas fort curieux de jour. Aujourd'hui nous aurons un Te Dcum sous une tente, avec une salve générale de l'armée, que le roi ira voir du mont de la Trinité. Cela sera beau. J'assure de mes respects Mm
עמוד 197 - Chacun connaît son jaloux naturel, Le montre au doigt comme un fou solennel, Et ne croit pas, en sa bonne écriture, Qu'il fasse mieux. Paris entier ayant vu son cartel.
עמוד 17 - Tout ce qui est mystère est au-dessus de l'homme et n'est pas fait pour lui ; la pratique des vertus ne peut avoir aucun rapport avec le dogme. La religion essentielle à l'homme est dans ce qu'on doit faire et non dans ce qu'on ne peut comprendre.
עמוד 9 - Pour souveraine loi mettant la destinée , Du tonnerre dans l'air bravant les vains carreaux , Et nous parlant de Dieu du ton de Des Barreaux?
עמוד 328 - ... camp. Le Roi chanta une chanson qui a beaucoup de couplets et qui est fort drôle. Pour le Dauphin, il était à la bataille comme à une chasse de lièvre, et disait presque :