Poésies de André Chénier: édition critique, étude sur la vie et les oeuvres d'André Chénier, bibliograpie des oeuvres posthumes, aperçu sur les oeuvres inédites, variantes, notes, commentaires et indexCharpentier, 1872 - 491 עמודים |
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עמוד 349 - dont les sombres pensées Sont d'un nuage épais toujours embarrassées ; Le jour de la raison ne les saurait percer. Avant donc que d'écrire apprenez à penser. Selon que notre idée est plus ou moins obscure. L'expression la suit ou moins nette ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement, Et les mots pour le dire arrivent aisément. En
עמוד 463 - Mou beau voyage encore est si loin de sa fin ! %'• Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine.
עמוד 199 - à madame de la Sablière : Je m'avoue, il est vrai, s'il faut parler ainsi, Papillon du Parnasse, et semblable aux abeilles A qui le bon Platon compare nos merveilles : Je suis chose légère, et vole à tout sujet; Je vais de fleur en fleur et d'objet en objet.
עמוד 463 - Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson ; Et comme le soleil, de saison en saison, Je veux achever mon année. Brillante sur ma tige et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin
עמוד 464 - Les Amours des baisers, les Muses des concerts ; Je ne veux point mourir encore. » Ainsi, triste et captif, ma lyre toutefois S'éveillait, écoutant ces plaintes, cette voix, Ces vœux d'une jeune captive ; 45 Et secouant le faix de mes jours languissants, Aux douces lois des vers je
עמוד 324 - plein chez eux d'excellence Peut entrer dans mes vers sans nulle violence, Je l'y transporte, et veux qu'il n'ait rien d'affecté, Tâchant de rendre mien cet air d'antiquité. Je vois avec douleur ces routes méprisées : Arts et guides, tout est dans les champs
עמוד 107 - mobile, un cou blanc, délicat, Se plie, et de la neige effacerait l'éclat. Leur voix est pure et tendre, et leur âme innocente, 5 Leurs yeux doux et sereins, leur bouche caressante. L'une a dit à sa sœur : « Ma sœur Ma sœur, en un tel lieu croissent l'orge et le
עמוד 465 - vers que je commence ait atteint la dernière, Peut-être en ces murs effrayés Le messager de mort, noir recruteur des ombres, Escorté d'infâmes soldats, Remplira de mon nom ces longs corridors sombres. 15 Quand au mouton bêlant la sombre boucherie
עמוד 216 - L'homme sait se cacher d'un voile spécieux. A quelque noir destin qu'elle soit asservie, D'une étreinte invincible il embrasse la vie, Et va chercher bien loin, plulôt que de mourir, Quelque prétexte ami de vivre et de souffrir. 20 II a souffert, il souffre : aveugle d'espérance, II se traîne au tombeau de souffrance en souffrance,
עמוד 57 - Là, l'hymen, les chansons, les flûtes, lentement s Devaient la reconduire au seuil de son amant. Une clef vigilante a, pour cette journée, Sous le cèdre enfermé sa robe d'hyménée, Et l'or dont au festin ses bras seront parés, Et pour ses blonds cheveux les parfums préparés. 10