Les poëtes français : recueil des chefs-d'oeuvre de la poésie française depuis les origines jusqu'à nos jours, כרך 2Gide, 1887 |
מתוך הספר
תוצאות 1-5 מתוך 50
עמוד 28
... cieux , Tournent leurs lumières belles , L'air , qui se montre serein , Est tout plein D'amoureuses estincelles . Puis , en descendant à bas , Sous ses pas , Naissent mille fleurs escloses ; Les beaux lys et les œillets Vermeillets ...
... cieux , Tournent leurs lumières belles , L'air , qui se montre serein , Est tout plein D'amoureuses estincelles . Puis , en descendant à bas , Sous ses pas , Naissent mille fleurs escloses ; Les beaux lys et les œillets Vermeillets ...
עמוד 46
... fait revivre ? Mais pourquoi chanté - je ainsi , Me plaignant du grief souci Où mon cœur est obstiné , Puisqu'à ce grand mal'heur - cy Les cieux m'ont predestiné ? OLIVIER DE MAGNY 1 - 4560 a « Comme Olivier 46 SEIZIÈME SIÈCLE .
... fait revivre ? Mais pourquoi chanté - je ainsi , Me plaignant du grief souci Où mon cœur est obstiné , Puisqu'à ce grand mal'heur - cy Les cieux m'ont predestiné ? OLIVIER DE MAGNY 1 - 4560 a « Comme Olivier 46 SEIZIÈME SIÈCLE .
עמוד 70
... cieux , Ces vieux palais , ces monts audacieux , Ces murs , ces arcs , ces thermes et ces temples , Juge , en voyant ces ruynes si amples , Ce qu'a rongé le temps injurieux , Puis qu'aux ouvriers les plus industrieux Ces vieux fragmens ...
... cieux , Ces vieux palais , ces monts audacieux , Ces murs , ces arcs , ces thermes et ces temples , Juge , en voyant ces ruynes si amples , Ce qu'a rongé le temps injurieux , Puis qu'aux ouvriers les plus industrieux Ces vieux fragmens ...
עמוד 75
... cieux : La teste à la taille pareille ; Le col grasset , courte l'oreille , Et dessous un nez ebenin 5 Un petit mufle lyonnin , Autour duquel estoit plantée Une barbelette argentée , - 1 Pour griève , grave . · 2 Peu s'en faut . 3 ...
... cieux : La teste à la taille pareille ; Le col grasset , courte l'oreille , Et dessous un nez ebenin 5 Un petit mufle lyonnin , Autour duquel estoit plantée Une barbelette argentée , - 1 Pour griève , grave . · 2 Peu s'en faut . 3 ...
עמוד 104
... cieux ? Puisque la mort cruelle Sans merci nous appelle , Que nous serviroit or 1 L'argent ou l'or ? Avant que mort descendre Là bas , je veux despendre Et rire , à table mis De mes amis ; Revien , ma Cythérée , Mollement enserrée ...
... cieux ? Puisque la mort cruelle Sans merci nous appelle , Que nous serviroit or 1 L'argent ou l'or ? Avant que mort descendre Là bas , je veux despendre Et rire , à table mis De mes amis ; Revien , ma Cythérée , Mollement enserrée ...
מהדורות אחרות - הצג הכל
מונחים וביטויים נפוצים
Adieu aime amant âme amour Baïf beau beauté Bellay belle Belleau Benserade Boileau chansons chant CHARLES ASSELINEAU Charleval charme chose ciel cieux cœur Colletet comédie Corneille cour courtisan dame Desportes Dieu dieux dire divine donner douce douleur doux esprit estre eût fleurs Fontaine française galant génie gentilhomme gloire goût heureux homme j'ai j'ay Jacques Tahureau jamais jeune Jodelle jour l'amour l'esprit laisse langue latin littéraire lyrique madame mademoiselle mademoiselle de Brie mademoiselle Du Parc main Malherbe malheur Maynard mieux mille Molière monde Montreuil mort Muses Nicolas Rapin nuict odes œuvres parle passer Passerat passion peine pensée pièces plaisir plaisirs pleurs poëme poésie poëte poétique Pontus Pontus de Tyard premier prince Racan raison Régnier Remy Belleau rien rimes Ronsard rose s'il Saint-Pavin Sainte-Beuve satire savant Scarron Segrais seigneur sentiment seul sonnet sort souvent stances Tabourot Tahureau tousjours trouve Vauquelin veux XVIe siècle yeux
קטעים בולטים
עמוד 351 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois.
עמוד 686 - Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau : Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau , Vous oblige à baisser la tête; Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête. Tout vous est aquilon, tout me semble zéphyr.
עמוד 721 - Je m'avoue, il est vrai, s'il faut parler ainsi, Papillon du Parnasse, et semblable aux abeilles A qui le bon Platon compare nos merveilles : Je suis chose légère, et vole à tout sujet; Je vais de fleur en fleur, et d'objet en objet; A beaucoup de plaisirs je mêle un peu de gloire. J'irais plus haut peut-être au temple de Mémoire, Si dans un genre seul j'avais usé mes jours; Mais quoi! je suis volage en vers comme en amours.
עמוד 587 - Percé jusques au fond du cœur D'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle, Misérable vengeur d'une juste querelle, Et malheureux objet d'une injuste rigueur, Je demeure immobile, et mon âme abattue Cède au coup qui me tue.
עמוד 490 - MA foi, c'est fait de moi; car Isabeau M'a conjuré de lui faire un rondeau, Cela me met en une peine extrême. Quoi ! treize vers, huit en eau, cinq en ème ! Je lui ferais aussitôt un bateau.
עמוד 687 - L'INVENTION des arts étant un droit d'aînesse, Nous devons l'apologue à l'ancienne Grèce : Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers venus n'y trouvent à glaner.
עמוד 409 - Ce n'est pas d'aujourd'hui que je suis ta conquête , Huit lustres ont suivi le jour que tu me pris , Et j'ai fidèlement aimé ta belle tête Sous des cheveux châtains et sous des cheveux gris. C'est de tes jeunes yeux que mon ardeur est née ; C'est de leurs premiers traits que je fus abattu : Mais tant que tu brûlas du flambeau d'Hyménée, Mon amour se cacha pour plaire à ta vertu.
עמוד 15 - Le temps s'en va, le temps s'en va, ma dame, Las ! le temps non, mais nous, nous en allons, Et tost serons estendus sous la lame: Et des amours desquelles nous parlons, Quand serons morts, n'en sera plus nouvelle: Pour ce, aymez-moy, ce pendant qu'estes belle.
עמוד 698 - Craignez, Romains, craignez que le ciel quelque jour Ne transporte chez vous les pleurs et la misère ; Et, mettant en nos mains, par un juste retour, Les armes dont se sert sa vengeance sévère, II ne vous fasse, en sa colère, Nos esclaves à votre tour.
עמוד 685 - Mais encor ? — Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.