Les poëtes français : recueil des chefs-d'oeuvre de la poésie française depuis les origines jusqu'à nos jours, כרך 2Gide, 1887 |
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עמוד 2
... muse de Ronsard . Pour lui , vêtu à l'antique d'une sorte de cuirasse d'or niellé sur laquelle se drape fièrement un manteau à dentelures , coiffé d'un grand laurier , posé comme un triomphateur et comme un demi - dieu , il apparaît ...
... muse de Ronsard . Pour lui , vêtu à l'antique d'une sorte de cuirasse d'or niellé sur laquelle se drape fièrement un manteau à dentelures , coiffé d'un grand laurier , posé comme un triomphateur et comme un demi - dieu , il apparaît ...
עמוד 12
... muse éclatante et nue qui laisse ruisseler sa chevelure blonde avec les flots épanchés de son urne de marbre . Quand ... muses . En ses maîtresses , il adorait surtout la beauté impérissable que de tout temps les dieux ont fiancée au ...
... muse éclatante et nue qui laisse ruisseler sa chevelure blonde avec les flots épanchés de son urne de marbre . Quand ... muses . En ses maîtresses , il adorait surtout la beauté impérissable que de tout temps les dieux ont fiancée au ...
עמוד 22
... Muses ; Toy par qui , de l'importun soin , Tout franc je me delivre , Lors qu'en toy je me pers1 bien loin , Parlant avec un livre ; Tes boccages soient tousjours pleins D'amoureuses brigades De satyres et de sylvains , La crainte des ...
... Muses ; Toy par qui , de l'importun soin , Tout franc je me delivre , Lors qu'en toy je me pers1 bien loin , Parlant avec un livre ; Tes boccages soient tousjours pleins D'amoureuses brigades De satyres et de sylvains , La crainte des ...
עמוד 25
... Muses la reverence . « Muses , deesses des chansons , Quand il faudroit quatre rançons Pour mon enfant , je les apporte ; Délivrez mon fils prisonnier . » > Mais les Muses l'ont fait lier D'une chaisne encore plus forte . Courage ...
... Muses la reverence . « Muses , deesses des chansons , Quand il faudroit quatre rançons Pour mon enfant , je les apporte ; Délivrez mon fils prisonnier . » > Mais les Muses l'ont fait lier D'une chaisne encore plus forte . Courage ...
עמוד 26
... Muses . Le petit enfant Amour Cueilloit des fleurs à l'entour D'une ruche , où les avettes Font leurs petites logettes . Comme il les alloit cueillant , Une avette , sommeillant Dans le fond d'une fleurette , Lui piqua la main ...
... Muses . Le petit enfant Amour Cueilloit des fleurs à l'entour D'une ruche , où les avettes Font leurs petites logettes . Comme il les alloit cueillant , Une avette , sommeillant Dans le fond d'une fleurette , Lui piqua la main ...
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עמוד 351 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois.
עמוד 686 - Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau : Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau , Vous oblige à baisser la tête; Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête. Tout vous est aquilon, tout me semble zéphyr.
עמוד 721 - Je m'avoue, il est vrai, s'il faut parler ainsi, Papillon du Parnasse, et semblable aux abeilles A qui le bon Platon compare nos merveilles : Je suis chose légère, et vole à tout sujet; Je vais de fleur en fleur, et d'objet en objet; A beaucoup de plaisirs je mêle un peu de gloire. J'irais plus haut peut-être au temple de Mémoire, Si dans un genre seul j'avais usé mes jours; Mais quoi! je suis volage en vers comme en amours.
עמוד 587 - Percé jusques au fond du cœur D'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle, Misérable vengeur d'une juste querelle, Et malheureux objet d'une injuste rigueur, Je demeure immobile, et mon âme abattue Cède au coup qui me tue.
עמוד 490 - MA foi, c'est fait de moi; car Isabeau M'a conjuré de lui faire un rondeau, Cela me met en une peine extrême. Quoi ! treize vers, huit en eau, cinq en ème ! Je lui ferais aussitôt un bateau.
עמוד 687 - L'INVENTION des arts étant un droit d'aînesse, Nous devons l'apologue à l'ancienne Grèce : Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers venus n'y trouvent à glaner.
עמוד 409 - Ce n'est pas d'aujourd'hui que je suis ta conquête , Huit lustres ont suivi le jour que tu me pris , Et j'ai fidèlement aimé ta belle tête Sous des cheveux châtains et sous des cheveux gris. C'est de tes jeunes yeux que mon ardeur est née ; C'est de leurs premiers traits que je fus abattu : Mais tant que tu brûlas du flambeau d'Hyménée, Mon amour se cacha pour plaire à ta vertu.
עמוד 15 - Le temps s'en va, le temps s'en va, ma dame, Las ! le temps non, mais nous, nous en allons, Et tost serons estendus sous la lame: Et des amours desquelles nous parlons, Quand serons morts, n'en sera plus nouvelle: Pour ce, aymez-moy, ce pendant qu'estes belle.
עמוד 698 - Craignez, Romains, craignez que le ciel quelque jour Ne transporte chez vous les pleurs et la misère ; Et, mettant en nos mains, par un juste retour, Les armes dont se sert sa vengeance sévère, II ne vous fasse, en sa colère, Nos esclaves à votre tour.
עמוד 685 - Mais encor ? — Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.