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De vous et de fortune et de moy je me deuls (IV, 263).
J'avais tousjours et craint et voulu tout ensemble (IV,
268).

Bien que l'obéissance et l'amour que je doy (IV, 274).
Ou soit que les marets de l'Egypte feconde (III, 389).
Je n'aime point ces noms ambitieux (V, 347).
L'autre jour que j'estois assis auprès de vous (IV,220).
Oyant un jour redoubler mes soupirs (IV, 379).
Genèvre, je te prie, escoute par pitié (IV, 224).

Le jour que vostre voile aux vagues se courba (VI, 10).
Ce me sera plaisir, Genèvre, de t'écrire (IV, 250).
Le jeune Hercule au berceau combattit (V, 304).
Rien du haut ciel le destin ne propose (V, 316).

Si Dieu, Madame, ostoit hors de ce monde (V, 314).
Par une Royne où sont toutes les graces (VII, 169).
Je suis la nef, vous estes mon pilote (I, 423).

Est-ce le ciel qui nous trompe, Bourdin (V, 343).

A moy qui ay conduit en France tant d'armées (VII, 193). . Je meurs, Paschal, quand je la voy si belle (I, 48). 1565. Le Procès (plaquette Bl., III, 349) (1):

J'ay procès, Monseigneur, contre vostre grandeur.
Les Nues ou Nouvelles (plaquette Bl., VI,

1565.

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257):

Quand le soleil ce grand flambeau qui orne...

1565 (vers juillet). Elegies, Mascarades et Bergerie. Après une Epitre en prose A la Majesté de la Royne d'Angleterre publiée par M. L. au tome VI, p. 446 de son édition, ce recueil contenait 51 pièces nouvelles :

Mon cœur esmeu de merveille se serre (BI., III, 323).
Quand Jupiter le grand père des Roys (IV, 382).
Les chesnes ombrageux que sans art la nature (IV, 5).
Si les souhaits des hommes avoient lieu (III, 318).
Comme une mère ardente en son courage (III, 380).
Ton bon conseil, ta prudence et ta vie (III, 363).

(1) Cette pièce se termine dès 1565 par ce distique latin :
Ad Carolum Lotharingum

Carole, Ronsardum sine vincere, victus ab illo

Post tua victurus fata superstes eris.

Au reste le Procès a été composé avant la mort du cardinal de Tournon, arrivée en avril 1562.

Docte Cecille à qui la Pieride (III, 391).

Pour vous monstrer que j'ai parfaite envie (IV, 375).
Anne m'a fait de sa belle figure (I, 428).

Je suis certain que vostre bon esprit (IV, 286).
L'homme seroit un demi-dieu parfait (VII, 194).
Si jamais âme et belle et genereuse (VII, 198).
Je sçay chanter l'honneur d'une rivière (VII, 239).
Après avoir pour l'amour combattu (IV, 123).
Si jamais homme en aimant fut heureux (I, 415) (1).
Ayant l'œil triste et pesant le sourcy (IV, 125).
Las, sans espoir je languis à grand tort (I, 415).
Ce diamant, maistresse, je vous donne (IV, 186).
Six chevaliers aux armes valeureux (IV, 187).
Quand le loisir me serait présenté (IV, 189).
Si le renom des chevaliers françois (IV, 127).
Si la pitié peut esmouvoir les dames (IV, 192) (2).
Icy la Comédie apparoist un exemple (IV, 184).
Demeure, chevalier, et en la mesme place (IV, 129).
L'an et le mois, le jour et le moment (IV, 193).
Je suis Amour, le grand maistre des Dieux (IV, 131).
Pour mon trophée en ce char trionfant (IV, 132).
Je t'ay donné, Charles, roy des François (IV, 134) (3).
Ce n'est pas toy, Terre, qui ce grand Roy (IV, 135) (4).
Apaisez vous, ne jouez plus des mains (IV, 136).
Soleil, la vie et la force du monde (IV, 137).
De l'immortel les Roys sont les enfans (IV, 141).
O prince heureusement bien né (IV, 144).
Après l'ardeur de la guerre cruelle (V, 305).
Qui a point veu aux tristes jours d'hyver (5).
Prince bien né quand le ciel t'anima (V, 324).
Pour celebrer l'honneur de vostre race (V, 325).
Je demandois à l'oracle des Dieux (V, 323).
Docte prélat qui portes sur la face (V, 328).

Comme une nymphe est l'honneur d'une prée (V, 331).
Du fort Jason Chiron fut gouverneur (V, 345).

(1) Bl. a commis une double erreur en répétant ce sonnet à la p. 419. (2) C'est le sonnet qui débute dans Blanchemain par cette variante postérieure:

Si les guerriers s'esmeuvent pour les dames.

(3) Ainsi que les trois sixains qui suivent celui-là.

(4) Idem.

(5) Réédité par nous dans la Revue d'Hist. Litt. de la France, no de juillet 1902, p. 444.

Magnanime Seigneur, je suis d'une nature (V, 324).
Quand en pleurant ma maistresse s'ennuye (1).
Quand tu nasquis, Vaumeny, tous les cieux (V, 341).
Douce beauté à qui je doy la vie (I, 48).

Douce beauté qui me tenez le cœur (I, 49).

Le premier jour du mois de May, Madame (I, 53).

La renommée allant de place en place (2).

On dit qu'Amour fut au commencement (I, 421).
Si j'avoy un riche trésor (II, 369).

O Seigneur Dieu, nous te louons (V, 255).

--

1567 (janvier). Une Ode qui fut récitée avant la représentation du Brave, d'Ant. le Baïf :

Come un lis à la rose blanche (3).

1567 (avril).

-

Deuxième édition collective des Euvres, (6 tomes); contenait 16 pièces nouvelles, savoir :

Au tome I. (Les Amours en deux livres):

Las je ne veux ni ne me puis des faire (Bl., I, 414).
Certes mon œil fut trop aventureux (I, 92).
Fameux Ulysse, honneur de tous les Grecs (I, 224).
Au tome III. (Les Poèmes en trois livres):
Afin que le temps qui tout mange (VII,250).
Le grand Hercule avant qu'aller aux cieux (V, 306).
Bien que Bacchus soit le prince des vins (ibid.).
Quand la congnée ou l'orage venteux (V, 307).
Prince bien né la seconde espérance (V, 310).
Vous qui avez forçant la destinée (V, 314).
De mon présent moy-mesme je m'estonne (V, 315).
Au tome V. (Les Elégies en quatre livres):
Au grand Hercule animé de courage (III, 311).
J'ay ce matin amassé de ma main (IV, 284).
Bien que le trait de vostre belle face (VI, 14).
Vous qui passez en tristesse le jour (IV, 326).
Je n'ay voulu, Madame, que ce livre (VI, 19).
Le fort cheval et l'aigle généreux (III, 358).

(1) Réédité par nous dans la Revue d'Hist. Litt. de juillet 1902, p.

444.

(2) Idem, p. 445.

(3) Réédité par Marty-Laveaux dans la Langue de la Pléiade, tome II, Appendice, p. 417, et par nous dans la Rev. d'Hist. Litt. de uillet 1902, p. 446.

1567 (novembre).

(BI., VII, 208),

Epitaphe d'Anne de Montmorency

Si d'un Seigneur la vertu mémorable

publiée parmi les Epitaphes sur le Tombeau de haut et puissant seigneur Anne, duc de Montmorency, etc....

1567.

396),

Elégie à M. Nicolas de Nicolay (Bl., IV,

Soit que l'homme autres fois d'argile retastée

publiée en tête des Navigations, pérégrinations et royages.... de Nicolas de Nicolay.

1588.

Sonnet qui parut en tête de l'Histoire d'Italie de Guicciardin, translatée par Hierosme Chomedey: Non ce n'est pas le mot, Chomedey, c'est la chose (Bl., V, 356. M.-L. VI, 384).

1568.

Quatrain en tête des Secondes Œuvres poétiques de Boyssières :

Virgile pour essay chanta sa Bucolique (Bl., VIII, 148.
M.-L. VI, 385).

1568. Un sonnet paru en tête de Porcie, première tragédie de Robert Garnier (chez R. Estienne) :

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Je suis ravi quand ce brave sonneur (Bl., V, 353).
1589 (août). Le Sixième et le Septième livre des
Poèmes, contenaient 59 pièces nouvelles, savoir :
Liv. VI.

Belot, parcelle ains le tout de ma vie (Bl., VI, 53).
Dieu est par tout, par tout se mesle Dieu (VI, 67).
Donques, meschant, fuitif et vagabond (VI, 72).
Tel qu'un petit aigle sort (V, 144), (1).

Chart

(1) Le titre de cette pièce est dans cette édition princeps: triomphal pour jouer sur la lyre sur l'insigne Victoire qu'il a pleu à Dieu donner à Monseigneur frère du Roy »; et cette victoire est celle de Jarnac, non pas celle de Moncontour qui n'eut lieu que deux mois après la publication du Sixième livre des Poèmes. C'est sculement en 1578 que Ronsard changea ainsi le titre : «< Hymne sur la victoire obtenue à Moncontour, par Monseigneur d'Anjou à present Roy de France »; mais il conserva les strophes 9 et 10 relatives à Jarnac.

Amy Candé, pour te bien faire rire (VI, 80).

Dure beauté, ingrate et malheureuse (VI, 92 à 105).
Comme un guerrier refroidi de prouesse (IV, 315).
De deux amours on voit la terre pleine (IV, 152).
L'homme qui n'aime est un Scythe sauvage (IV, 155).
Quiconque soit le peintre qui à fait (I, 380).

Dame au gros cœur, pourquoy t'espargnes tu? (VI, 417).
Pource, mignon, que tu es jeune et beau (IV, 350).
Je suis des Dieux le Seigneur et le Père (IV, 165).
Du haut du ciel je suis icy venue (IV, 166).
Voicy le jour où le saint Charlemagne (V, 308).
Autant qu'au ciel on voit de flammes (VI, 319).
Amy Belot, que l'honneur accompagne (VI, 121).
Huit chevaliers de nation estrange (IV, 167).
Les dames sont bénignes de nature (VI, 418).

Ces vers gravez ici plus dur que dans le cuivre (V, 332).
Tu as, Chauveau, rompue assez la teste (VI, 125).
Liv. VII.

Du Lac qui joins la gentille carolle (VI, 105),
Je veux chanter, Cherouvrier, le Soucy (VI, 110).
Pin, qui estends ton herissé feuillage (VI, 113).
Gay rossignol, honneur de la ramée (VI, 118).
L'absence, ni l'obly, ni la course du jour (IV, 395).
Le doux sommeil qui toutes choses apaise (I, 113).
Ce jour de May qui a la teste peinte (I, 375).
J'avoy l'esprit tout morne et tout pesant (I, 80).
Puisqu'autrement je ne scauroy jouir (1, 439).
Le jour me semble aussi long qu'une année (Ibid.).
Seul je m'avise et nul ne peut sçavoir (I, 101).
Jaloux Soleil contre Amour envieux (I, 56).
Heureux le jour, l'an, le mois et la place (I, 63).
Qui vous dira qu'Argus est une fable (I, 73), (1).
Que dites-vous, que faites-vous, mignonne (I, 121).
Honneur de May, despouille du printemps (I, 72).
Non ce n'est pas l'abondance d'humeurs (I, 442).
Cependant que ce beau mois dure (II, 365).
Prens ceste rose aimable comme toy (1,54).

Le Gast, je suis bruslé d'amour et de chaleur (IV, 302).
En vain pour vous ce bouquet je compose (I, 227).
Pour vous aimer, maistresse, je me tue (IV, 319).

Je suis la plante de Pallas (VI, 418).

Douce beauté, meurdrière de ma vie (I, 74).
Quand de ta lèvre à demy close (I, 124).

(1) Au lieu de Si l'on vous dit qu'Argus....

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