Œuvres de Pierre Lebrun ...Perrotin, 1861 |
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Abbotsford aimé âme assis barque beau belle bois bord brille bruit c'était Champrosay chante Charles X charme château chemin chercher CHOEUR ciel cieux cœur couler le bateau d'Horace danse Desmousseaux dormir doux eaux fleurs gazon gloire Grèce GULLEYAZ harem HAROUN Hélas heure heureux homme Horace j'ai j'aime jeune jour JUAN KATINKA KHASNADAR l'air l'Anio l'eau l'entraîne Nous mènera l'horizon l'ombre Laissez seul couler Laure lieu loin lointain LOLAH lord Byron mademoiselle Mars main maison maître matin mènera le cours Missolonghi montagnes monts MUEZZIN NOTE nuages nuit odalisques ombrages parfums passe pays PÉDRILLE pensée Pétrarque peuple peut-être pied plaisir pleure Pnyx poëme poëte porte Provins ramez à peine regards reste réveil rivages Saint-Marin scène semble sent soir soleil sommeil songe Sorgue Sorrente sort soudain souvenir sultan Talma Tancarville temple temple de Vesta terre Tibur Tivoli triste vaisseau vallée vallon venait vent Vésuve vient voilà voile vois voix yeux
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עמוד 131 - N'étend pas l'horizon trop loin, Et, satisfait de peu d'aisance, De ce beau royaume de France Possède à l'ombre un petit coin ! Un cerisier, près de mon Louvre, Le cache et l'indique au regard; Devant, la Seine se découvre, Et , derrière , une porte s'ouvre Sous les ombrages de Senart.
עמוד 362 - Me quoties reficit gelidus Digentia rivus, Quem Mandela bibit, rugosus frigore pagus, Quid sentire putas ? quid credis, amice, precari...
עמוד 133 - ... Je ne demande à ce village De lot que celui qu'il m'a fait ; Content si , m'assurant la vue De la rivière et du coteau , J'y puis seulement, sur la rue , Joindre la place étroite et nue Que borne, en fleurs, le vieux sureau. C'est tout... Et puis encor peut-être Ce petit bois plein de gazon, Qui se berce sous ma fenêtre , Et semble m'attendre pour maître, Caché derrière ma maison. Rien de plus .. Et si, murmurante, Dans ce bois, devenu le mien, Venait à luire une eau courante , Alors......
עמוד 11 - Que les autres plaisirs ne remplacent jamais. Celui qui dans l'étude a mis sa jouissance, Garde sa pureté, ses mœurs, son innocence ; Le miroir de sa vie est riant à ses yeux; Les jours ne sont pour lui que des moments heureux ; Sans ennui, sans langueur, sans tristesse importune; 11 n'adressera point ses vœux à la fortune; Hélas!
עמוד 131 - ... fidèle solitude Le silence parle bien mieux. Peut-être, à l'usage fidèles, Maintenant mille passereaux, Lâchés sous les nefs solennelles, Aux cierges saints brûlent leurs ailes. Et du bec battent les vitraux. Liberté!... c'est donc le symbole De celle que nous font les rois? Plus semblables à mon idole, Vous me montrez celle qui vole, Oiseaux qui chantez dans les bois. C'est ici que j'aurais dû naître! Champrosay! nom plein de douceur!
עמוד 50 - La, près des flots émus qui ne dorment jamais, Du sommeil éternel dort l'immobile paix. O tourmente des mers ! ô calme de la tombe ! Le flot pour le troubler monte, mais il retombe.
עמוד 10 - Je me rappelle encor, non sans ravissement, La classe , son travail , son silence charmant ; Je tressaille, en songeant aux paisibles soirées, Sous les regards du maître, au devoir consacrées, Quand , devant le pupitre en silence inclinés, Nous n'entendions parfois, de...
עמוד 90 - ... avec ses échos Cette république escarpée ! Un chemin charmant y conduit , Bordé d'une haie embaumée. Qui, de grenadiers parsemée, A ses fleurs voit s'unir leur fruit. La république tout entière Est assise sur un rocher. Et l'on n'en saurait approcher Sans escalader la frontière. En la plaçant sur ces sommets. Aux générations futures Ses fondateurs ont à jamais Sauvé le luxe des voitures. Sans cour, sans garde, sans palais. Son gouvernement est modeste ; Trente écus en font tous...
עמוד 8 - La neige au loin blanchir le faîte des maisons; Oh ! que l'étude alors est douce et délectable ! A couvert des frimas , quel charme inexprimable De lire et de rêver, tranquille en son réduit , Près du feu rayonnant qui brûle à petit bruit ! Le soir, quand le silence occupe nos demeures, Que seules de la nuit se répondent les heures, Qu'on aime à prolonger le doux travail des jours ! Le temps fuit, l'airain sonne, et l'on...
עמוד 6 - L'étude était leur bien, leur asile, leur cour; Et, comme aux jours heureux ils régnaient avec elle. Aux jours de l'infortune elle leur fut fidèle.