| Théodore Faullain de Banville - 1859 - 322 דפים
...c'est pour oublier tous ces ennuis que je suis venu dans un théâtre ! Que ces gens-là me soient étrangers, cela ne serait encore rien ; ce qu'il...je pleure, ils ne souriraient guère de ce qui me fait rire aux éclats. A chaque instant le chœur antique disait au spectateur : « Nous avons toi... | |
| Théodore Faullain de Banville - 1883 - 482 דפים
...c'est pour oublier tous ces ennuis que je suis venu dans un théâtre ! Que ces gens-là me soient étrangers, cela ne serait encore rien ; ce qu'il...c'est que je leur suis, moi, profondément étranger. IIs ne savent rien de moi, ils ne m'aiment pas, ils ne me plaignent pas quand je suis désolé, ils... | |
| Émile Zola - 1914 - 442 דפים
...Banville, qui ajoute, en parlant des personnages d'une comédie moderne : « Que ces gens-là me soient étrangers, cela ne serait encore rien; ce qu'il ya...je pleure ; ils ne souriraient guère de ce qui me fait rire aux éclats. » Et il regrette le chœur antique qui, à chaque instant, intervenait dans... | |
| |