trois ans. '則" "東之 "非東 征明也。
1tse alors, en conséquence, 2kiu-tong l'expression kiu-tong, *tchi
particule relative, feï pas (n'est pas, ne veut pas dire que), tong
dans l'est, à l'est, tching (il alla) châtier les rebelles, ming-ye
(cela) est clair, est évident.
T1⁄2‡H 'Chin-tsong (nom propre),
3wei est, Yao l'empereur Yao, 5ming-ye c'est évident; c'est-à- dire il est évident que Chin-tsong est le même que Yao.
chi-ye à la fin d'une phrase: c'est cela, voilà le fait
chi-i pour i-chi, de là vient que, par suite
de cela. ''chi-i par suite de cela, pour cette raison (leurs actions), heou-chi dans les siècles sui- vants, pou-tch'ouen n'ont pas été transmises. Meng-tseu.
是猶 chi-yeou, c'est comme. '是獪"惡濕而
Tchi-yeou c'est comme, 3ou détester, ‘chi l'humidité,
Seul et cependant, kiu demeurer, 'hia en bas (dans un lieu bas).
Meng-tseu, chap. II, part. 1, § 4.
是用chi-yong pour 是以on以是(chi-i ou i-chi),
par suite de cela (en mandchou: teretchi). Lun-yu, chap. V, § 22.
'chi en ce moment, 2thien-3khi le temps, 1tsing-tsi était pur, tao-
yeou les Tao-sse, tsien-hing offrirent un repas d'adieu au
voyageur, 1oyu dans, à, 11si-12kiao la banlieue de l'ouest. (Relation
du voyage de Tch'ang-tch'un, fol. 6, verso.
A la fin d'un membre de phrase, étant précédé de tchi,
particule, signifie dans le temps où, à l'époque où.
★ Zyu-tch'i-chouï-tchi-chi à l'époque où l'empereur
Yu réglait le cours des eaux, 'fe 3¿11san - 2weï-
yeou, avoir, être. Ce mot est sans valeur devant un nom
de pays qu'on prononce seul.'sse il
présidait, sse aux sacrifices, 4tchi de, 2yeou-3tsi du pays de Tsi.
En mandchou: dchi i ba i wetchen be alifi, mot à mot: alifi pré-
sidant, wetchen be aux sacrifices, ba i du pays, dehi i de Thsi.
(Tch'un-thsieou, chin-mandch., liv. XIX, fol. 4.) On voit que l'in-
terprète mandchou n'a pas tenu compte de yeou. Cf. p. 199,
ligne 5.
yeoutchou. Voyez (page 146, lin. 8), la significa-
未可 wei-kho pour 不可 pou-kho (Kia-p'ao).未可 wei-kho-i-yen-yu est-ce que vous n'avez pas pu
未嘗 wei-tcliang, synonyme de 未會 wei-tseng. 吾
weï-tch'ang-wou-hoeï je n'ai jamais manqué de donner mes instructions. (Weï signifie pas encore. Les mots tch'ang et tseng sont des marques du passé.) Lun-yu, chapitre Chou-eul.
Lun-yu, chap. Tseu-han, § 10. ''Z X ®œ
'sonï quoique, 2yo je désire, thsong-tehi le suivre,
mo pour 無 wo);由 yeon pour 所
由 80-yeon ce par quoi je passerai, c'est-à-dire : le chemin qu'il
faut prendre. Le sens est: je voudrais l'imiter, mais je ne sais comment faire. L'interprète mandchou a traduit cette phrase au prétérit indéfini: dakhalaki sekhe seme, quoique j'aie voulu le suivre, songgo bakharukó okho je n'ai pas trouvé sa trace.
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