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Na-kien recevoir, admettre les réprimandes.

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3

'W' " ' ' Z thsong obéir aux (satisfaire les), 從

5yo désirs, 4tchi des, 'eul oreilles, 3mo (et) des yeux.

1

F3yun les mouvements, tchi du, 1thien ciel

(les mouvements des corps célestes).

1

pen-youen, mon premier souhait, vœu.

3

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# # 3 & 1khi-tchi son savoir, 3kho peut, 1ki être 其

atteint, égalé.

3° Les substantifs dérivés de mots qu'on emploie ordinairement comme adjectifs, par exemple: fou richesses, de fouriche; koueihonneurs, du mot koueï,honorable; p'in pauvreté, du mot p'in pauvre. Exemples: fan-fou

convoiter les richesses; thsekoueïrefuser les honneurs; wang-p'in

la pauvreté.

oublier

C'est encore en vertu de la position que les adjectifs thsong

EX

doué d'une ouïe fine, hien sage, yu

épais, ta grand, hong

stupide, heou

étendu, deviennent des sub

stantifs. Exemples: 'Éthsong la finesse d'ouïe, stchi de, 1sse-khouang (nom d'homme).

Hming mettre en lumière, 2khi-3hien sa (propre)

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1

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theou l'épaisseur, 2tchi de, 3ti la térre.

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聖 ́Ï31★ ta la grandeur, 3tchi de, 'ching-tao la

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'I & Zhong l'étendue, 3tchi des, kiao instruc

tions, 1wang de l'empereur.

Dans les six exemples ci-dessus, la particule tchi,

qui

met au génitif les mots précédents, montre clairement que le dernier caractère est un substantif.

4° Les substantifs qui sont formés d'un verbe actif ou

neutre et du mot tchevulgo qui, quæ, quod.

tche, un envoyé, un ambassadeur, du mot sse

sse

使 envoyer; 隱

1

in-tche, un solitaire, du mot in se cacher, être caché (en mandchou: somikha niyalma); sse-tche la mort; “者“人之"所"必不免”者“也。sse-tche la

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mort, 10ye est, so-tche ce que, jin l'homme, 4tchi particule relative, 'pi certainement, pou-mien ne (peut) éviter.

DES CAS.

Nominatif.

Le nominatif ne demande aucune marque de cas, lorsqu'il exprime soit un nom de personne, soit un pronom, ou un nom

commun. Exemples: 7□EZ¶X F 孟子日。仁之勝不仁

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"也。"猶"水“勝 • " " " "Meng-tsen, youe dit, 'jin l'huma

nité, tchi particule relative, ching triomphe de, pou-sjin l'inhumanité, ye particule finale, 10yeou comme, 11chouï l'eau, 12ching triomphe de, 13ho l'eau.

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f t e 'keou les chiens, *tchi et les truies,

3chi mangent, 5sse les aliments, 4jin des hommes.

Le nominatif, sujet d'une phrase, est souvent suivi de tchi

Ż qu'on est convenu d'appeler particule relative. Exemples: £ 2±°±1ƒ °F 1thien (quand) le ciel, 2tchi particule

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relative, 3seng a produit, a fait naître, 4sse ce, 5min peuple.

1

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'犬馬"之"我"不同類"也 khionen

les chiens, 2ma et les chevaux, tchi particule relative, pou ne (sont) pas, louï d'une espèce, thong semblable, yu à, ngo nous;

9ye particule finale.

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' # 2 Z © ƒ ' ! 'Z'kiun le prince, tchi particule 君之犬馬 relative, 3khiouen (comme) un chien, ma (comme) un cheval, 5hio nourrit, 5ki (moi) ki.

Les mot khiouen et ma sont pris ici adverbialement. Pour rendre le rôle qu'ils ont dans ce passage, il faudrait fabriquer deux adverbes ridicules, impossibles, et écrire: (il me nourrit) chiennement, chevalement.

1

Génitif.

Quand deux mots sont en construction, les Chinois ont deux moyens d'exprimer le génitif.

1o En employant la particule tchi qu'ils insèrent entre deux mots, dont le premier porterait en latin la marque du génitif.3kiun le prince, 2tchi du (signe du génitif), 1koue royaume (regn-i princeps).

2o En plaçant au premier rang celui qui a le sens du génitif.

te la vertu, 1jin de l'homme (hominis virtus): ★ F thien-tseu cœli filius, le fils du ciel, l'empereur; 'Z 羔羊之 *pi une peau, 3tchi de, 1kao-2yang agneau (agni pellis).

4

Ce genre de construction admet trois, quatre, cinq génitifs de suite, sans que la phrase où ils se trouvent cesse d'être parfaitement claire.

DEUX GÉNITIFs. ‘前哲令德之則 tse les

exemples, 5tchi des, 3ling-1te nobles vertus, 1thsien-tche des anciens sages. 苑

TROIS GÉNITIFS.in la forêt, 3tchou des

perles, youen du jardin, fa de la-loi.

6

QUATRE GÉNITIFS.5% #580-yao

義海

le résumé, thai de la mer (de la vaste collection), i des sens (des

explications), i du I-king, 1tcheou de Tcheou-kong.

周易

3

5

義蘊

CINQ GÉNITIFS. wen la profondeur, i du sens (le sens profond, la signification profonde), *pien des changements, hiao des lignes symboliques, 2; du I-king, 1tcheou de Tcheou-kong (qui est le premier des cinq livres canoniques).

La règle du génitif, par position, paraît quelquefois présenter une exception, lorsqu'une expression signifie une quantité de, un poids de, une longueur de. Ainsi l'on dit: '

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mot-à-mot: 1si épargner, 2fun un dixième de pouce, 3in temps (un

très-court espace de temps); 尺地莫非其有也

tch'i-ti-mo-feï - khi-yeou-ye, mot-à-mot: pied-terre- aucun - passon-avoir (il n'y avait pas un pied de terre qui ne lui appartînt),

1

-mot-à-mot: 1i une, 2peï tasse, 3chouï eau (un verre

d'eau);

1

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-1i un, tch'e un char, une voiture, 3sin menu bois pour brûler, une chartée de bois à brûler.

Nous voyons par la version mandchou que la règle du génitif par position n'est pas moins observée que dans les exemples précédents. En effet, on y lit, pour le premier exemple: épargner le temps d'un dixième de pouce: emou fouwen i khelmen be khairara; pour le second: la terre d'un tch'i pied chinois : dchouchourou i na; pour le troisième : l'eau d'une tasse: emou khôntaka i mouke; pour le quatrième: le bois à brûler d'une voiture: emou sedchen i orkho.

Datif.

Les Chinois expriment le datif de deux manières. 1° Par la position. Si un verbe signifie donner à, promettre à, parler à, le nom de la personne (régime indirect au datif) se place après le verbe, et le régime direct, la chose donnée, promise, dite, vient après.

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Exemples: '君“餽之粟。則"受 `之平

1kiun (si) le prince, 2koueï donne, 3tchi à lui (lui donne), so du millet, tse alors, cheou-shou reçoit-il (shou, particule interrogative), tchi cela (accipit-ne illud milium?), l'accepte-t-il?

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'sse il donna, thsi-3heou au prince

de thsi (datif), 4tsou de la viande offerte en sacrifice.

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公賜季友汶 ̊陽 之 ©田 'kong le prince,

2sse donna, 3ki-1yeou à ki-yeou, thien les champs, 2tchi de,

5wen-yang, nom de pays.

Le datif s'exprime ordinairement par les prépositions yu

et yuqui sont synonymes, et quelquefois par hou .

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'FL2 7 °F 11khong-tseu, Confucius, 3yen parlant, F 4yu à (datif) 3tch'ing-pe au prince de Tch'ing, du titre de Pe, youe, dit.

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可使 "同‘乎 龍逢比“干”矣。'iho on

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1kho

peut, 2sse faire que, thong ils deviennent sembables, thou à,

5 Long-fong (et à) Pi-kan (noms d'hommes), i particule finale. (Kou-wen-youen-kien, liv. 30, fol. 28).

Accusatif.

Dès le commencement de mes études chinoises, savoir dans les premiers mois de 1824, j'avais cru reconnaître que les caractères i, yu, yuhou perdaient, dans certains cas bien déterminés, leur signification habituelle pour devenir simplement des marques d'accusatif. Pour prouver ce fait si important que personne n'avait encore aperçu ni signalé, j'ai inséré à la fin de ma traduction latine de Mencius un petit mémoire intitulé: Brevis Tractatus in quatuor litteras quæ apud Mencium ejusque interpretes (j'aurais dû dire: apud sinenses scriptores) officio maxime notabili funguntur.

Je vais tâcher de montrer, par de nombreux exemples, le rôle que ces quatre caractères me paraissent avoir souvent, comme marques d'accusatif. J'ajouterai que ce principe a été adopté par le savant Endlicher dans la Grammaire chinoise qu'il a publiée en allemand à Vienne, et qu'il m'a fait l'honneur de me dédier. 1

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Dass die nachstehende Lehre (dit-il, page 206) von den accusativischen Präpositionen aus Julien's Vindiciae philologicae, (Paris 1830) entnommen ist, braucht für Kenner der grammatischen Literatur nicht bemerkt zu werden.“ 2

1 Anfangsgründe der chinesischen Grammatik, von Stephan Endlicher. Wien, 1845.

2 „Les personnes versées dans l'histoire de la science grammaticale n'ont pas besoin que je leur fasse remarquer que les principes suivants relatifs aux prépositions qui indiquent l'accusatif, sont empruntés aux Vindiciae philologicae de Stanislas Julien.“

Ce titre de vindiciae philologicae n'est pas celui du petit mémoire qui termine ma version latine de Mencius. On le trouve plus haut, lin. 13 sqq. (S. Julien.)

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