L'oeuvre de A. de Lamartine: extraits choisis et annotés à l'usage de la jeunesse avec une notice sur la vie et les oeuvres de l'auteurHachette, 1887 - 480 עמודים |
תוכן
80 | |
92 | |
101 | |
108 | |
118 | |
127 | |
134 | |
141 | |
150 | |
156 | |
164 | |
172 | |
184 | |
191 | |
199 | |
206 | |
214 | |
221 | |
229 | |
235 | |
239 | |
246 | |
261 | |
269 | |
380 | |
389 | |
404 | |
408 | |
416 | |
422 | |
429 | |
435 | |
449 | |
456 | |
462 | |
468 | |
475 | |
מהדורות אחרות - הצג הכל
מונחים וביטויים נפוצים
Adieu aime ALPHONSE DE LAMARTINE âme amis Barclay de Tolly barque beau blanche bois bords bras brise Brissot bruit c'était chant Charles X cheveux ciel cieux cœur collines couche coup débris désert Dieu divin doux drapeau écume enfants eût femme fenêtre feuilles fille flancs fleurs flots flottant foule front gémir Girondins gloire goutte Graziella Guillaume Tell heure homme j'ai jette jeune jour l'âme l'homme l'œil l'ombre laisser Lamartine larmes lèvres Mâcon madame Roland Mahomet main maison maison de Milly matin ment mère Milly Mirabeau montagne monts mort Moscou mourir murmure murs Naples noirs nuit ombre parole Parthénon passé pauvre pensée père peuple pieds pierre pleurs poète porte Procida qu'un rayon regard république rêve roule saint Sainte-Sophie sang sentiment seul sœur soir soleil sommet sort souffle sourire Talma terre tête toit tombe tombeau Toussaint Louverture triste vagues Valazé vent Vergniaud vignes visage Voilà voile voix yeux
קטעים בולטים
עמוד 12 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ; Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés; Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes Sur ses pieds adorés.
עמוד 13 - O temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices. Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours ! ' Assez de malheureux ici-bas vous implorent : Coulez, coulez pour eux ; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ; Oubliez les heureux.
עמוד 13 - Mais je demande en vain quelques moments encore, Le temps m'échappe et fuit; Je dis à cette nuit: «Sois plus lente;» et l'aurore Va dissiper la nuit. «Aimons donc, aimons donc! de l'heure fugitive, Hâtons-nous, jouissons ! L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive; II coule, et nous passons...
עמוד 19 - J'aime à revoir encor, pour la dernière fois, Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière Perce à peine à mes pieds l'obscurité des bois. Oui, dans ces jours d'Automne où la nature expire, A ses regards voilés...
עמוד xvi - Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé ? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé!
עמוד 7 - J'ai trop vu, trop senti, trop aimé dans ma vie; Je viens chercher vivant le calme du Léthé. Beaux lieux, soyez pour moi ces bords où l'on oublie : L'oubli seul désormais est ma félicité.
עמוד 21 - Le temps n'a pas encor bruni l'étroite pierre, Et sous le vert tissu de la ronce et du lierre On distingue... un sceptre brisé ! Ici gît... point de nom ! demandez à la terre ! Ce nom ! il est inscrit en sanglant caractère Des bords du Tanaïs au sommet du Cédar, Sur le bronze et le marbre, et sur le sein des braves, Et jusque dans le cœur de ces troupeaux d'esclaves Qu'il foulait tremblants sous son char.
עמוד 22 - Ta tombe et ton berceau sont couverts d'un nuage , Mais pareil à l'éclair tu sortis d'un orage ; Tu foudroyas le monde avant d'avoir un nom : Tel ce Nil dont Memphis boit les vagues fécondes Avant d'être nommé fait bouillonner ses ondes Aux solitudes de Memnon.
עמוד xvi - Mais peut-être au delà des bornes de sa sphère, Lieux où le vrai soleil éclaire d'autres cieux, Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre, Ce que j'ai tant rêvé...
עמוד 361 - J'ai donc sacrifié tous nos intérêts à ceux de la patrie; je pars. Vous, mes amis, continuez de servir la France. Son bonheur était mon unique pensée; il sera toujours l'objet de mes vœux! Ne plaignez pas mon sort; si j'ai consenti à me survivre, c'est pour servir encore à votre gloire; je veux écrire les grandes choses que nous avons faites ensemble ! Adieu, mes enfants ! Je voudrais vous presser tous sur mon cœur; que j'embrasse au moins votre drapeau!...