Le roman d'une grande âme: Lamartine ...Plon-Nourrit et cie, 1920 - 372 עמודים |
מהדורות אחרות - הצג הכל
מונחים וביטויים נפוצים
aimé Alphonse de Lamartine âme amour beau beauté belle Belley Bergues bonheur bruit c'était chants Charles BAILLE charme château Chateaubriand chevalier chose Christ ciel cœur comte Dargaud devant Dieu divin douce doux écrivait enfants famille femme fille flots gloire goût gouvernement Harmonies heures hommes hymne immense inspiré Ischia j'ai jamais jeune jeunesse de Lamartine Jocelyn jour Julie l'âme l'amour l'homme l'hôtel laisser Lamar lointain Mâcon main maison maison de Milly Maurice BARRÈS ment mère Milly Mme de Lamartine Mme de Prat monarchie monarchie de Juillet Monceau monde montagnes mort n'avait Nouvelles Méditations nuit parole Parthénon passé passion pensée père Pétrarque peuple Pierreclos poème poésie poète politique premier Rambuteau rayon religieux République reste rêve Révolution rien Roche-Guyon Saint-Point sainte Sainte-Beuve salon Seigneur sentiment seul siècle sion soir soleil sombre souvenir souvenirs sublime tendresse terre tion tribune triste vallée Victor Hugo vignes Virieu voix Voyage en Orient yeux
קטעים בולטים
עמוד 114 - Qui pendent sur tes eaux! Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés ! Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise :
עמוד 135 - C'est une dure loi, mais une loi suprême, Vieille comme le monde et la fatalité, Qu'il nous faut du malheur recevoir le baptême, MO Et qu'à ce triste prix tout doit être acheté.
עמוד 125 - Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
עמוד 112 - Mais je demande en vain quelques moments encore, Le temps m'échappe et fuit; Je dis à cette nuit: Sois plus lente; et l'aurore Va dissiper la nuit. «Aimons donc, aimons donc! de l'heure fugitive, Hâtons-nous, jouissons ! L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive; Il coule, et nous passons!
עמוד 125 - De colline en colline en vain portant ma vue, Du sud à l'aquilon, de l'aurore au couchant, Je parcours tous les points de l'immense étendue, Et je dis: « Nulle part le bonheur ne m'attend.
עמוד 111 - O temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours...
עמוד 111 - O lac! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir!
עמוד 15 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent; la lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion et alors ce sera un beau tapage; les jeunes gens sont bien heureux, ils verront de belles choses.
עמוד 74 - II est près du sentier, sous la haie odorante, Une pierre, petite, étroite, indifférente Aux pas distraits de l'étranger.
עמוד 215 - ... des Albanaises qui tirent de l'eau, ou qui lavent à des puits les robes des Turcs; des paysans qui vont et viennent, conduisant des ânes, ou portant sur leur dos des provisions à la ville: il faut supposer toutes ces montagnes dont les noms sont si beaux, toutes ces ruines si célèbres, toutes ces îles, toutes ces mers non moins fameuses, éclairées d'une lumière éclatante.