 en voit sur les tapisseries. Oh! combien je préfère à ce caquet si vain, Tout le soir, du silence, un silence sans fin ; Être assis sans penser, sans désir, sans mémoire, Et, seul, sur mes chenets, m'éclairant aux tisons, Écouter le vent battre,...  Études sur la littérature contemporaine - עמוד 24מאת Edmond Henri Adolphe Scherer - 1886תצוגה מלאה - מידע על ספר זה
 | Eugène Crépet - 1863 - 778 דפים
...de paix avec ses vieilles sœurs, Deux revêches beautés parlant de ravisseurs, Portraits comme on en voit sur les tapisseries. Oh! combien je préfère...gémir les cloisons, Et le fagot flamber, et chanter ma bouilloire l L'autre nuit, je veillais dans mon lit sans lumière, Et la verve en mon sein à flots... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - 1863 - 684 דפים
...comme on en voit sur les tapisseries. Et, seul, sur mes chenets, m'éclairanl aux tisons, Écouler le vent battre, et gémir les cloisons. Et le fagot flamber, et chanter ma bouilloire ! SONNET IXITÉ DE WORDSWORTII. • Ne ris point des sonnets, ô Critique moqueur ! Par... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - 1869 - 506 דפים
...de paix avec ses vieilles sœurs, Deux revêches beautés parlant de ravisseurs, Portraits comme on en voit sur les tapisseries. Oh ! combien je préfère...chenets, m'éclairant aux tisons, Écouter le vent haltre, et gémir les cloisons, Et le fagot flamber, et chanter ma bouilloire ! SONNET IMITÉ DE WORDSWORTH.... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - 1879 - 444 דפים
...de paix avec ses vieilles sœurs, Deux revéches beautés parlant de ravisseurs, l'ortraits comme on en voit sur les tapisseries. Oh! combien je préfère...Être assis sans penser, sans désir, sans mémoire; Sonnet. Imité de Wordsworth. Ne ris point des sonnets, ô Critique moqueur I Par amour autrefois en... | |
 | Camille Fontaine - 1889 - 430 דפים
...de paix avec ses vieilles sœurs, Deux revêches beautés parlant de ravisseurs, Portraits comme on en voit sur les tapisseries. Oh ! combien je préfère...gémir les cloisons, Et le fagot flamber, et chanter ma bouilloire ! SOUVENIR. Dans l'île Saint-Louis, 1 le long d'un quai désert, L'autre soir je passais... | |
 | Camille Fontaine - 1889 - 438 דפים
...de paix avec ses vieilles sœurs, Deux revêches beautés parlant de ravisseurs, Portraits comme on en voit sur les tapisseries. Oh ! combien je préfère...Et seul, sur mes chenets, m'éclairant aux tisons, Ecouter le vent battre, et gémir les cloisons, Et le fagot flamber, et chanter ma bouilloire ! 148... | |
 | Camille Fontaine - 1889 - 438 דפים
...de paix avec ses vieilles sœurs, Deux revécues beautés parlant de ravisseurs, Portraits comme on en voit sur les tapisseries. Oh ! combien je préfère...Et seul, sur mes chenets, m'éclairant aux tisons, Ecouter le vent battre, et gémir les cloisons, Et le fagot flamber, et chanter ma bouilloire ! SOUVENIR.... | |
 | Camille Fontaine - 1889 - 436 דפים
...de paix avec ses vieilles sœurs, Deux revêches beautés parlant de ravisseurs, Portraits comme on en voit sur les tapisseries. Oh ! combien je préfère...Et seul, sur mes chenets, m'éclairant aux tisons, Ecouter le vent battre, et gémir les cloisons, Et le fagot flamber, et chanter ma bouilloire ! SOUVENIR.... | |
 | Edmond Henri Adolphe Scherer - 1891 - 384 דפים
...Deux revêches bcautÉs parlant du raviHHours, Portraits comme on en voit sur les tapisserie«. Oh 1 combien je préfère à ce caquet si vain, Tout le soir, du silence, un silence sans lin ; Etre assis sans penser, sans désir, sans mémoire, Et, seul, sur mes chenets, m'éclairant aux... | |
 | Edmond Henri Adolphe Scherer - 1891 - 336 דפים
...beautés parlant de ravisseurs, Portraits comme on en voitsur Jes tapisseries. Oh! combien je préfère a ce caquet si vain, Tout le soir, du silence, un silence sans fin; Etre assis sans penser, sans désir, sans mémoire, Et, seul, sur mes chenets, m'éclairant aux tisons,... | |
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